





| |
Ouvrages choisis par les éditions France Loisirs.
B:
BA
BE BO
BR |
1. |
Lucien BODARD. Anne Marie.
Grasset et Fasquelle: 1981. Un volume relié à couverture toilée rigide,
de couleur grise, jaquette illustrée couleur, 309 pages, 16 x 25 cm.
Prix: 3 €.
[CG164]
Etat :
Assez Bon (7/10)
L'enfant Lucien Bonnard, le fils de « Monsieur le Consul », abandonne
la Chine pour découvrir la France. Le roman débute le jour où Lucien,
seul avec sa mère, Anne Marie, débarque sur le sol de la métropole tant
glorifiée par Monsieur le Consul, resté au loin. Alors l'enfant. Lucien
va vivre trois mois de folie, trois mois de passion, trois mois de
jalousie, trois mois de désespoir. Car il croit qu'il va avoir sa mère
pour lui tout seul. Et il va sentir qu'Anne Marie lui échappe, qu'elle
n'est pas là pour filer le parfait amour avec son fils mais pour mener
la vie mondaine dont elle rêve. Elle n'a qu'un but : entrer dans
l'intimité d'un couple célèbre qui a fait la carrière de son mari, celui
d'André et d'Edmée. Elle se débarrasse d'un fils encombrant, en le
faisant admettre dans la pension la plus chic de France... Lulu Bonnard
« le Chinois » atteint le fond de l'humiliation et du désespoir... Anne
Marie ne vient pas le voir une seule fois. Enfin arrivent les vacances.
Le fils retrouve sa mère, toujours semblable et pourtant différente :
elle est devenue parisienne, elle éblouit le monde de 1925, elle fascine
et bouleverse son fils. Lucien Bodard brosse un superbe portrait de
femme. Anne Marie... La mère, l'ambitieuse, la mondaine, Anne Marie
l'incertaine, l'angoissée. Et il a écrit le plus beau et le plus
douloureux roman d'amour, celui de l'amour filial. Anne Marie a obtenu
le
Prix Goncourt 1981. |
 |
2. |
Roger BORNICHE.
Kidnapping . Presses de la Cité : 1990. Un volume relié à
couverture cartonnée rigide, de couleur noire, jaquette illustrée
couleur, 355 pages, 15 x 23 cm.
Prix: 3 €.
[CG164]
Etat :
Bon (8/10).
Chaque jour, aux
Etats-Unis, des centaines d'enfants disparaissent. Bien souvent aucune
rançon n'est demandée parce qu'ils sont assassinés ou livrés à de riches
pervers... Aussi lorsque Elisabeth Tucson, l'ex-femme d'un célèbre
avocat, contacte Borniche pour qu'il enquête sur la disparition de sa
fille - une ravissante Lolita de dix ans -, il n'hésite pas une seconde.
Une véritable gageure pour l'ex-flic français, simple résident à Los
Angeles. Que pourra-t-il faire de plus que le F.B.I. et les détectives
américains qui ont pris l'affaire en main ? S'associer avec eux et
prouver que les bonnes vieilles méthodes françaises peuvent avoir du bon
! Une affaire épineuse dont le dénouement ébranlera la police de Los
Angeles et éclaboussera la jet society d'Hollywood d'un scandale sans
précédent. |
 |
3. |
Jean-Claude BOURRET. Maigrir en mangeant à volonté.
France Empire : 1982. Un volume relié à couverture cartonnée rigide, de
couleur bleue, jaquette illustrée couleur sur fond orange, 302 pages, 15
x 23 cm.
Prix: 3 €.
[CG166]
Etat :
Bon (8/10).
II ne s'agit pas de l'un de ces multiples régimes bidons qui circulent
de bouche à oreille, mais du résultat des recherches menées par
plusieurs équipes médicales de nutritionnistes dont celle du docteur
Creff, Président du Comité Français d'Information et d'Education
Diététiques. II a accepté de détailler à Jean-Claude Bourret comment on
peut maigrir sans médicaments et en mangeant à sa faim. Mais le docteur
Creff explique aussi : - Comment stabiliser votre nouveau poids et
garder votre nouvelle ligne mince ; - Comment faire une cuisine
appétissante, mais qui ne fait pas grossir ; - Pourquoi on abuse de la
crédulité des femmes en prétendant soigner localement la cellulite et ce
qu'il faut faire pour la traiter ; - Comment on peut et on doit maigrir
sans médicaments, après avoir consulté son médecin ; - Les erreurs que
commettent souvent les femmes enceintes dans leur alimentation ; -
Pourquoi un bébé « potelé » est un futur « gros» adulte et pourquoi il
faut surveiller son poids ; - Pourquoi il faut faire maigrir un enfant
obèse et ne pas croire que «ça s'arrangera quand il sera grand » ; -
Pourquoi le sport est un remarquable remède aux kilos superflus ; -
Comment acquérir la volonté de maigrir. Que vous ayez un ou trente kilos
à perdre, vous êtes concerné, car les kilos de graisse sont cause de
bien des ennuis. |
 |
4. |
Nancy BOSSON. Maîtresse détresse. Un volume relié à couverture
cartonnée rigide de couleur rouge, 252 pages, 14 x 23 cm.
Prix: 3 €.
[N21CG78]
Bon état
(8/10). Dans ce livre, plein de verve et de
tendresse, l'auteur raconte vingt années de la vie d'une institutrice,
catégorie 'école maternelle'. Riche de mille et une anecdotes cocasses,
émouvantes, ahurissantes qui tissent la réalité scolaire, 'Maîtresse en
détresse' s'est vendu à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires. |
 |
5. |
Françoise
BOURDIN. La maison des Aravis. Un volume relié à couverture
rigide de couleur marine, fers et titres or sur le premier plat et le dos,
jaquette illustrée, 350 pages, 15 x 21 cm.
Prix: 3 €. [L4]
Très Bon état (9/10). Clément, quarante-sept ans, agent immobilier au chômage, et Bénédicte,
vétérinaire dans un cabinet parisien, vivent à Levallois avec leurs grands
enfants, Louise et Laurent. Lorsque Bénédicte reçoit en héritage la maison
de sa tante Mathilde, en Haute-Savoie, Clément propose de partir s’y
installer. Après maintes hésitations, toute la famille se lance dans
l’aventure. Soutenue par l’accueil chaleureux des gens du village, Bénédicte
s’adapte rapidement et avec enthousiasme à sa nouvelle vie. Mais bientôt,
Clément, dans l’un de ses revirements coutumiers, se lasse de cette vie rude
et austère, tandis que Bénédicte se sent étrangement troublée par son
voisin, Ivan Charlet, un maître verrier passionné et secret qui disparaît
chaque jour dans la forêt en compagnie de deux loups apprivoisés. |
 |
6. |
Georges BORDONOVE. La
Caste. Pygmalion / Georges Watelet. France Loisirs :
1991. Un ouvrage relié à couverture rigide verte, jaquette illustrée
couleur, 278 pages, 16 x 25 cm.
Prix: 3 €.
[CG177]
Etat :
Bon (8/10).
Une passion si éclatante, si fulgurante, que les séparations, la mort
même, ne pourront détruire. " Tu es là, je te vois, et pourtant tu es
inaccessible... Je t'aime au delà des temps ! " S'achevant sur cet
ultime cri d'amour, l'histoire d'une passion fulgurante, d'une famille
de hobereaux, d'un vieux château blotti dans un écrin chatoyant de
verdure et de hautes frondaisons, sur les terres voilées d'ombre ou
gorgées de lumières du Bocage vendéen, fouetté perpétuellement par les
vents d'Ouest venus de l'Océan. Un hymne aussi à la nature, à la terre,
à l'amitié, à la vraie vie, scandé par le rythme éternel des saisons.
Dans un cadre romanesque et merveilleusement romantique, Blaise de
Chablun, ultime descendant de sa lignée, va vivre une passion qui
transfigurera sa destinée, un amour si éclatant que les séparations, la
mort même, ne pourront plus jamais atteindre. Un très grand roman, âpre
et fougueux, charnel et aérien, cruel et serein, d'une beauté plastique
et poétique exceptionnelle, d'une inoubliable intensité émotionnelle et
dramatique... |
 |
7. |
Janine BOISSARD.
L'esprit de famille. Claire et le bonheur. Moi, Pauline. Un volume relié, à couverture toilée rigide, de couleur marine, 340 pages,
14 x 21 cm.
Prix: 3 €.
[N21CG36] Bon état. Jaquette illustrée bleue
coupée.
Claire et le bonheur
Voici, à nouveau, la famille Moreau: tendresse des
parents, gaieté de Cécile, rude franchise de Bernadette, hésitations de
Pauline devant la vie et Claire: la « princesse ». A la Marette, d'abord,
puis en Bourgogne, dans la grande demeure familiale où tout le monde va se
retrouver pour Noël, Claire l'insaisissable va se révéler à elle-même... et
à nous. Mais à Montbard, ce ne sont pas seulement les odeurs d'enfance et la
fête qui attendent nos quatre filles. Comment Cécile surmontera-t-elle la
terrible rencontre qu'elle s'apprête à y faire ? Est-ce avec l'amour que
Pauline y a rendez-vous ? Et Claire saura-t-elle saisir à temps le bonheur ?
Moi, Pauline
Dix-neuf ans! Est-ce vraiment le bel âge ? N'est-ce pas
plutôt celui de l'incertitude ? De l'inconfort ? « Que feras-tu plus tard ?
» Combien de fois Pauline, s'est entendu poser cette question! Et
maintenant, bachelière, la voici obligée d'y apporter elle-même une réponse
en choisissant sa voie. Ni « jeune loup » ni « mouton », dans un monde où
les places se disputent chèrement, Pauline ne sait qu'une chose : elle veut
écrire! Ses parents se montrent réticents : vivre de leur plume, tellement
peu y parviennent! Cependant, devant son insistance, ils acceptent que leur
fille suive, avec son amie Béatrice, une école de journalisme. Voici donc
Pauline prenant son envol, essayant de regarder en face le monde tantôt
exaltant, tantôt terrifiant, que lui avaient caché jusqu'à présent les murs
de la Marette; la voici aux prises avec la vie. Et avec l'amour ! C'est de
Paul, trente ans, écrivain et journaliste, qu'elle s'est éprise follement ;
« follement » est bien le mot ! Comment cet homme presque célèbre
s'intéresserait-il à celle qu'il a, semble-t-il, classée une fois pour
toutes dans la catégorie des « jeunes filles rangées »? Moi, Pauline, est le
quatrième volume de L’Esprit de famille. |
 |
8. |
Jean BOTHOREL. Toi, mon
fils. France Loisirs. Grasset: 1986. Un ouvrage
relié à couverture rigide, noire, 176 pages, 14 x 21 cm.
Prix: 3 €. [N21CG124]
Bon état (8/10).
« Rien ne m'incitait à raconter ce que j'ai vécu depuis ce matin de
novembre 1982 quand j'ai pris brusquement conscience que mon fils
Alexandre, alors âgé de dix-sept ans, se droguait. Dans la chambre de
bonne qu'il occupait, je l'avais découvert affalé sur son lit, hilare.
Trois copains gisaient à ses côtés dans la même hébétude. Image à la
fois violente et banale. Je l'ai regardé, étouffant une envie de
pleurer. Il riait, me répétant: « Tu ne peux pas comprendre... Tu ne
peux pas comprendre... » Je savais, au fond de moi, que j'allais refuser
l'épreuve qui s'annonçait, repousser le plus loin possible le moment de
l'explication, le dialogue. J'étais envahi par un sentiment
d'impuissance. « Aujourd'hui, les années ont passé. Et le besoin
d'écrire s'est imposé avec une violence qui ne m'est pas coutumière. » |
 |
9. |
Françoise BOURDIN.
L'héritage de Clara. France Loisirs : 2001.
Un volume relié à couverture cartonnée rigide de couleur noire, jaquette
illustrée sur fond noir, 380 pages, 13 x 21 cm.
Prix: 3 €. [N21CG83]
Très Bon état (9/10).
À quatre-vingt-cinq ans,
usée par cette longue épreuve que fut sa vie, Clara s'éteint dans sa
propriété provençale de Vallongue. Chef de clan et gardienne de la tribu
Morvan-Meyer, elle a toujours surmonté les deuils, les mensonges, les
trahisons, les rancunes ; elle a maintenu l'honneur et l'unité de la famille
en dépit de tout. Elle a surtout fermé les yeux sur la tragédie qui déchira
le destin de ses deux fils trente ans plus tôt. Pour elle, ses cinq petits
enfants ont respecté la loi du silence. Les voici seuls, face à eux-mêmes et
à leurs propres démons. Si la jeune génération ne réagit pas, d'affreux
lendemains se préparent. Renouant avec la grande tradition des sagas
familiales, celle des Gens de Mogador, Françoise Bourdin, de livre en livre,
touche un public de plus en plus fidèle et nombreux. |
 |
10. |
Jeanne
BOURIN. La Dame de beauté. Un volume relié à couverture rigide de
couleur blanche, 244 pages, 15 x 21 cm.
Prix: 3 €.
[N21CG93]
Bon état (8/10). Agnès Sorel
fut la première maîtresse - royal~4 reconnue officiellement, affichée,
comblée de titres et de biens. Elle s'identifia' si parfaitement au siècle
charnière qui a été le sien qu'elle en reflète le double aspect. Médiévale
par la gaieté et-la foi, déjà moderne par le goût du confort et les besoins
matériels. Fille d'honneur d'Isabelle de Lorraine, duchesse d'Anjou, Agnès a
vingt et un ans lorsqu'elle rencontre, à Toulouse, Charles VII qui, lui, a
quarante ans. La beauté d'Agnès fit de lui un amant subjugué, le
transfigurant : de terne, inquiet, 'défiant, malchanceux, il devint joyeux,
hardi, plein d'allant, habile. Avec 'ce talent reconnu par tous, ce sont des
amours rayonnantes que nous fait vivre ici Jeanne Bourin, l'auteur de La
Chambre des dames. Des amours qui sont aussi de l'Histoire. Agnès Sorel fut
appelée « damoiselle de Beauté » tant parce qu'elle était tenue pour la plus
belle du monde que parce que le. `roi lui avait donné à vie la maison de
Beauté-lès-Paris. |
 |
11. |
Jeanne
BOURIN. Les amours blessées. Un volume relié à couverture rigide
de couleur rouge, 310 pages, 16 x 23 cm.
Prix: 3 €.
[N21CG93]
Bon état (8/10). « Te
souviens-tu, Guillemine, du printemps de nos quinze ans ? C'était au temps
du roi François, premier du nom. » Ainsi parle Cassandre Salviati, à qui
l'on vient d'annoncer la mort de Pierre de Ronsard. Ils se sont rencontrés
un jour d'avril 1545, à la Cour. Jeune poète alors inconnu, il écrira : « Je
la vis, j'en fus fou. » Il est clerc tonsuré et ne peut se marier. Elle
épousera Jean de Bray, un seigneur du voisinage. Mais Cassandre et Ronsard
ne cesseront de s'aimer, de rompre, de s'aimer encore. Toujours. C'est
quarante ans de sa vie que Cassandre évoque ici. Inspiratrice de Ronsard,
parente de Catherine de Médicis, elle est surtout une femme de la
Renaissance, cette époque contrastée où les arts et la littérature
florissent, tandis que les femmes perdent leurs droits acquis au Moyen Âge
et que les guerres ravagent le pays. |
 |
12. |
Jeanne
BOURIN. Le grand feu. Un fort volume à couverture toilée rigide
de couleur rouge, fers or, jaquette illustrée sur fond noir, 502 pages, 14 x
21 cm.
Prix: 3 €. [N21CG85 N21CG93] Bon état (8/10). L'incendie
du château de Fréteval rapproche Bernold, jeune maître verrier, et Isambour,
brodeuse sur toile. Ils s'aiment. D'un amour tendre et passionné. Mais
l'oncle de la jeune fille veut la marier au fils du meunier. Bernold enlève
Isambour. Après ce rapt chevaleresque, il l'emmène à Blois et l'épouse.
Roman de cet amour qui dure les vingt années que dure la vie du couple, Le
Grand Feu est aussi celui de toute la société féodale du début du XIIe
siècle. Aux alentours de Blois, et dans la vallée du Loir, on construit des
villages et des villes, des églises et des donjons fortifiés ; la princesse
Adèle, fille de Guillaume le Conquérant, introduit un nouvel art de vivre ;
des croisés rentrent de Terre sainte ; les épidémies et les famines sont
évoquées en filigrane. Comme sur les tapisseries de Bayeux, qui viennent
d'être achevées, c'est tout un monde en mutation - des paysans aux artisans
et aux seigneurs - que Jeanne Bourin laisse apparaître ici, et fait revivre. |
 |
13. |
Jeanne
BOURIN. La chambre des Dames. Préface de Régine PERNOUD.
Un volume relié à couverture rigide de couleur rouge, 429 pages, 16 x 23 cm.
Prix: 3 €. [N21CG93] Bon état (8/10). Jamais le
Moyen Age n'avait encore inspiré un tel roman, chronique fidèle, simple,
chaude et familière d'une famille vivant au XIIIe siècle, dans le royaume de
Saint Louis. Ce roman n'est pas un « roman historique » La sens habituel du
terme. C'est un roman dans l'histoire. Jeanne Bourin y conte l'existence
quotidienne des Brunel, orfèvres à Paris, surtout celle des femmes de cette
maisonnée et, tout particulièrement, de deux d'entre elles: Mathilde, la
mère, trente-quatre ans, et Florie, sa fille, quinze ans, qui se marie. Tout
semble tranquille, assuré. Rien ne l'est. Guillaume Dubourg, un cousin venu
d'Angers, assiste au mariage. Au premier coup d'oeil, il s'éprend de la
jeune épousée. Dès lors, il lui faudra assouvir la passion qui s'est emparée
de lui. Autour de cette jeune femme, autour des deux hommes qui se la
disputent, autour de Mathilde, affermie par sa foi, la famille, les amis,
les fêtes, les voyages, les coutumes médiévales, un viol, un miracle, la
mort, des naissances, tout un cortège d'événements tissent la trame de ce
livre. Si l'intrigue est imaginaire, le cadre historique, lui, ne l'est pas.
Une documentation rigoureuse donne au moindre détail une authenticité que
Régine Pernoud, éminente médiéviste, s'est plu à confirmer dans sa préface.
Bien des idées reçues se voient battues en brèche : les Brunel vivent sous
nos yeux comme on vivait en ce rayonnant XIIIe siècle, qui avait ajouté un
huitième péché capital aux sept autres : la tristesse. On mêlait
gaillardement vie charnelle et vie spirituelle, quête du corps et quête de
l'âme, sans déchirement. |
 |
14. |
Jeanne BOURIN. Le
jeu de la tentation. France Loisirs.
La Table Ronde: 1981. Un ouvrage
relié à couverture toilée rigide de couleur rouge, jaquette illustrée couleur,
445 pages, 16 x 22 cm.
Prix: 3 €. [N21CG116]
Bon état (8/10). Après La Chambre
des dames, Le jeu de la tentation est le second volet de la chronique
familiale des Brunel, marchands et artisans, vivant en Ile-de-France, en
ce XIIIe siècle rayonnant que Jeanne Bourin a su merveilleusement
ressusciter. Nous sommes en juin 1266, le dernier bel été du règne de
saint Louis. Marie, la plus jeune fille des Brunel, est veuve depuis
deux ans et mère attentionnée de deux enfants, Vivien et Aude. Elle a
vingt-sept ans, un métier qu'elle adore, enlumineresse, et un amant
fougueux, Côme Perrin, maître mercier. Mais Marie est déchirée entre son
amour maternel et son penchant pour Côme. De plus, trois Lombards,
truands et criminels, font peser sur sa famille une terrible menace.
Dans cette période encore paisible, le destin des Brunel préfigure les
malheurs qui vont s'abattre sur le royaume. Sous le regard d'Aude, la
propre fille de Marie, commence alors le jeu de la tentation : argent,
luxure, violence, désespoir, mort, et jusqu'à la sainteté et au martyre. |
 |
Dernière Mise à jour : le
samedi, 05. juin 2021
| |
|