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Ben PORAT, Eytan HABER, Jonathan GUEFFEN, Hesi CARMEL, Uri DAN, Eli LANDAU, Eli TAVOR. Kippour. Le premier récit vécu et complet de la guerre israélo-arabe par les sept journalistes les mieux informes d'Israël. Préface de Joseph KESSEL. Hachette Littérature : 1974. Un volume broché à couverture cartonnée souple pelliculée et illustrée avec rabats, 230 pages, 15 x 23 cm cahier final de 8 pages avec photos, carte. [N21CG51] Bon état (8/10) Thème : Guerre de KIPPOUR. |
Prix: 12 €. |
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2. |
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Jacques DEROGY, Jean-Noël GURGAND. Israël, la mort en face. Collection "Notre époque". Robert Laffont : 1975. Un volume broché à couverture cartonnée souple pelliculée de couleur fauve avec rabats, 384 pages, 15 x 23 cm, cahiers avec photos, carte. [N21CG51 N21CG52] Bon état (8/10) Thème : Guerre de KIPPOUR. |
Prix: 2.50 €. |
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3. |
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Jean LARTEGUY, Michel ABRAMI, Ben PORAT, Jean-François RATINEAU, Jean LETIT, Ahmed SAID. Les murailles d'Israël. Edition Spéciale, collection dirigée par Jacques LANZMANN. Publications Premières:1968. Un volume broché à couverture cartonnée souple pelliculée de couleur noire, 246 pages, 14 x 23 cm. [N21CG56] Bon état (8/10) Sujet : Guerre des 6 jours. |
Prix: 6 €. |
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4. |
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Mohammed HEIKAL. Le sphinx et le commissaire. Heurs et malheurs des soviétiques au Proche-Orient. Traduit de l'anglais par Michel FAURE. Collection "Le sens de l'histoire". Editions J A : 1980. Un volume à couverture cartonnée souple illustrée sur fond de couleur bleue, 366 pages, 14 x 21 cm. [N21CG71]. Etat Très bon (9/10). Poids : 450 g |
Prix: 8 €. |
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5. |
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Daniel SIBONY. Proche-Orient. Psychanalyse d'un conflit. Seuil : 2003. Un volume à couverture cartonnée souple illustrée sur fond de couleur blanche, 312 pages, 14 x 21 cm. [CG184]. Etat Bon (8/10). Poids : 450 g D'où vient l'étrangeté de ce conflit, qui l'empêche de trouver une solution " raisonnable " et le dérobe aux cadrages ordinaires : guerre de libération, partage d'une terre entre deux peuples, lutte anti-coloniale, guerre de religions ? On tente de faire ici la " psychanalyse d'an conflit " à partir de la pathologie propre à chacun des acteurs : celle du monde arabe et de sa pointe avancée, le peuple palestinien ; celle des Judéo-Israéliens ; celle du témoin occidental, européen ou américain, lui aussi divisé, comme on l'a vu récemment. Dans ce jeu complexe, pour éclairer la part d'inconscient et du fantasme dans cette tragédie, Daniel Sibony éclaire son enjeu comme visant le partage de l'être, c'est-à-dire l'ouverture au symbolique, et interprète de façon neuve les dynamiques narcissiques en présence, ainsi que le retour du refoulé qui les accompagne - terre " hantée " ou " possédée ", dispute pour un Texte et empoignade entre-deux-livres... |
Prix: 8 €. |
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6. |
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Diana PINTO. Israël a déménagé. Collection : Essais - Documents. Stock: 2012. Broché: 232 pages. ISBN-10: 2234073219 ISBN-13: 978-2234073210 Dimensions: 21,4 x 13,6 x 2 cm. [P]. Etat Très Bon (9/10). Biographie de l'auteur Diana Pinto est un chercheur indépendant. Elle est spécialiste des questions de politique internationale et s’intéresse maintenant plus particulièrement aux implications de la présence juive en Europe et au Moyen-Orient depuis 1989. Elle intervient régulièrement dans des colloques et des universités en Europe, aux États-Unis et en Israël. Elle est membre fondateur du Conseil de relations étrangères européennes et visiting fellow à Harvard. Résumé: Israël a changé. Il n’est plus ce pays issu du creuset européen auquel on veut encore croire. L’Israël des origines, celui des pionniers, celui de la Shoah, est révolu. Il est mort au cours des années 1990, avec le processus de paix d’Oslo, lui-même contemporain de la grande euphorie de la chute du Mur de Berlin. Israël d’aujourd’hui est l’orphelin de cette histoire. Mais un orphelin devenu adulte, qui s’est reconstruit avec d’autres repères et d’autres influences. Non seulement il n’a plus la hantise de son passé européen, mais il n’a plus non plus les mêmes attaches qu’autrefois : l’Amérique d’Obama l’inquiète. Israël d’aujourd’hui s’intéresse plus au prix du fromage blanc, le cottage cheese, qu’au processus de paix sur lequel est focalisée la presse du monde entier. Israël a épousé notre époque. Il vit désormais dans un cyberespace au coeur d’une mondialisation au parfum de plus en plus asiatique. Le postmoderne s’y combine avec un passé ancien, voire archaïque, ultrareligieux. Israël a déménagé. Pendant que le reste du monde continuait à prononcer les mantras du « processus de paix » et de la « feuille de route », Israël changeait de références. Ses hommes d’affaires investissent dans les terres agricoles de Roumanie, construisent des centres commerciaux en Pologne, pays qu’au même moment visitent les pèlerins ultrareligieux de Mea Shearim qui viennent se recueillir sur les tombes des rabbins hassidiques. Le grand passé biblique et talmudique ne cesse pas d’être présent, au contraire. Mais il se combine avec les progrès technologiques d’une société résolument moderne. Un peu comme les grands pays asiatiques, qui, eux aussi, combinent progrès technologique et références au passé religieux. |
Prix: 8 €. |
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Et aussi
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Dernière Mise à jour : le samedi, 05. juin 2021
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