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Sélections
de la collection "Le Grand Livre du Mois".
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1. |
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Georges BORGEAUD. Le voyage à l'étranger.
Grasset, Paris : 1974. Un volume à couverture cartonnée rigide, toile marron, 13
x 21 cm, 451 pages, jaquette jaune. Prix:
2 €.
[N21C6] Bon état.
Quand Jean Noverraz a quitté la Suisse, son pays natal, pour entrer dans
une abbaye bénédictine de Belgique, était-ce par vocation comme il l'a
cru ou parce que la splendeur des rites faisait vibrer sa sensibilité et
qu'il trouvait en Dieu le substitut de ce père qu'il ne connaît pas et
dont il ressent toujours cruellement l'absence ? A vingt-deux ans, Jean
ne s'habitue pas à sa naissance irrégulière. Le supérieur du monastère
ne s'y est pas trompé, mais il ne le renvoie pas dans le siècle les
mains vides : il lui procure un poste de précepteur chez son frère, le
comte de Moressée, au château de Soye, dans les Ardennes belges. Son
élève, Christian, a onze ans. Ce préceptorat lui est une occasion de
gagner sa vie, de s'affirmer, de se former, mais Jean est un rêveur
amoureux de ses rêves, orgueilleux jusqu'à l'intolérance, susceptible
comme un enfant qu'il est encore au fond. Et c'est avec une impudeur
naïve, presque enfantine, qu'il raconte son séjour dans ce monde de gens
riches et bien élevés parmi lesquels il ne sait pas s'intégrer, cabré
d'avance, encore pris dans la gangue de ses fantasmes, maladroit,
ingénu, troublé par les premiers élans du corps et du cœur. Tel est le
thème de ce roman qui a obtenu en 1974 le
Prix: Renaudot. |
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2. |
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Flora GROULT. Le passé
infini. Grand livre du mois. Flammarion, Paris : 1984. Un volume à
couverture cartonnée rigide, toile grise, jaquette bleue, 13 x 21 cm, 262 pages.
Prix:
2 €.
[N21CG18] Bon état. En Irlande,
l'été. La petite maison de vacances face à la mer. Une femme parle à
l'homme qu'elle a longtemps aimé, et qui vient de mourir. Oui, Thomas et
elle se sont passionnément aimés, trop aimés, mal aimés. Pourtant, c'est
aujourd'hui seulement qu'Iris peut s'adresser à lui comme jamais elle
n'a su le faire. Malgré leur amour, que de malentendus et d'occasions
perdues ! A-t-elle été faible ou maladroite ? Etait-il d'un insoutenable
orgueil ? A qui la faute ? Il n'importe plus... Iris cherche simplement
à comprendre, feuillette sa vie comme un livre dont on ne peut
s'arracher. Près d'elle, à son écoute, Valentine, vingt-cinq ans. Sa
fille, leur fille. |
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3. |
Didier DAENINCKX. Un château
en Bohême. Grand livre du mois. Denoël, Paris : 1994. Un volume à
couverture cartonnée rigide illustrée, 14 x 21 cm, 218 pages.
Prix:
3 €.
[N21CG19] Bon état. François Novacek, ancien journaliste
d'investigation devenu détective privé, se rend à Prague sur les traces
d'un écrivain français disparu lors d'un voyage de repérage. Dans cette
ville où tout semble à la fois curieux et habituel, Novacek va se
trouver confronté à une réalité déroutante. Son enquête sur le passé
récent du pays et sur les méthodes de l'ex-Union des écrivains va
croiser sa propre histoire, celle d'un père ancien résistant sous
l'occupation nazie devenu footballeur de haut niveau, et qui parvint à
fuir en 1952 lors de la grande vague des procès staliniens. |
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4. |
Brenda JAGGER. Les chemins de
Maison Haute. Un volume relié à couverture orange, jaquette illustrée,
dos avec titres blancs, 414 pages 16 x 24 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG28] Bon état, petits manques sur la jaquette.
Dans l'Angleterre victorienne, une femme peut-elle choisir son destin ?
C'est ce que veut de toutes ses forces fragiles Virginia Barforth, la
petite-fille d'un riche filateur - le patriarche de Maison Haute.
Adolescente, Virginia doit d'abord plier, subir. Son père et son frère
meurent sous les coups d'ouvriers en colère et, devenue l'héritière du
patrimoine, elle est contrainte d'accepter un homme qu'elle n'aime pas :
son cousin Joel, un arriviste cynique, qui ne l'épouse que pour sa
fortune. Etrangement, c'est dans ses bras pourtant que Virginia
s'éveille au plaisir... Plus tard, un autre homme lui fera découvrir
l'amour, la tendresse... Virginia peut-elle se résoudre à ce partage
ambigu ? Non, elle exige davantage de la vie, et d'elle-même, elle exige
tout ! |
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5. |
Martine
BOURRILLON. Côté cœur, c’est pas le pied. Grasset &
Pasquelle : 1984. Un volume relié à couverture cartonnée rigide
illustrée de couleur grise, jaquette illustrée sur fond rose, 243 pages,
15 x 23 cm.
Prix:
3 €.
[CG165]
Etat : Bon (8/10).
Tous
les signes extérieurs de bonheur - Belles, intelligentes et tout, mais
mal aimées - Des frus-trées tout à fait normales - Y'a plus de mecs -
Pas facile de vivre, hors normes - La solitude, ça existe - L'âge de la
crise - Trop tard pour un bébé - Ça s'appelait un mariage - Qu'est-ce
qu'on leur a fait ? - Le sentiment n'est plus ce qu'il était - On n'est
pas les meilleures - Ils ne sont pas des princes charmants - Seules ? Et
alors, on est toujours seul. |
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6. |
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Mary HIGGINS
CLARK. Un jour tu verras ... Traduit de l'anglais par Anne DAMOUR. Collection "Spécial Suspense". Albin Michel: 1994.
Un volume relié à couverture
semi souple turquoise, 390 pages 15 x 23 cm.
Prix:
2 €.
[N21CG56] Bon état (8/10),
Meghan n'en croit pas ses yeux : là, dans ce service d'urgences
hospitalières, la jeune fille qu'on vient d'amener, victime d'une grave
agression, lui ressemble trait pour trait, comme une jumelle. Mais ce
n'est là que la première des énigmes que la jeune femme, avocate
reconvertie dans le journalisme, va devoir affronter. Un père disparu
dans un mystérieux accident. Une clinique spécialisée dans la
fécondation in vitro et l'élaboration de clones humains. L'ombre d'un
"serial triller"... On ne résume pas ce roman, dont la critique a été
unanime à saluer le brio époustouflant. Des surprises jusqu'au bout, un
suspense sans faiblesse : jamais la romancière de La Nuit du Renard,
Grand Prix: de littérature policière 1980, n'a fait preuve d'une telle
science de l'intrigue et de l'angoisse |
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7. |
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Mary HIGGINS
CLARK. Nous n'irons plus au bois. Traduit de l'anglais par Anne
DAMOUR. Collection "Spécial Suspense". Albin Michel: 1992.
Un volume relié à couverture
rigide marine, jaquette illustrée, 348 pages 15 x 23 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG56] Bon état (8/10),
Laurie Kenyon, vingt et un ans. est arrêtée pour le meurtre de son
professeur. Tout l'accuse sans équivoque possible. Cependant Laurie ne
se souvient de rien. Sarah, elle, refuse de croire que sa sueur est
coupable. Avec l'aide d'un psychiatre, elle va peu à peu faire revivre
le terrible passé de Laurie : son enlèvement à quatre ans, les violences
qu'elle a subies. les graves troubles de la personnalité qu'elle a
développés depuis à son insu. Mais au même moment, le danger rôde à
nouveau: le couple kidnappeur, qui a retrouvé sa trace, redoute ses
révélations... La romancière de La Nuit du Renard, grand Prix: de
littérature policière 1980, nous entraîne dans un suspense où se mêlent
à chaque page l'angoisse, les cauchemars de l'enfance, la folie. |
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8. |
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Ken FOLLETT.
La nuit de tous les dangers. Traduit de l'anglais par Jean ROSENTHAL.
Stock: 1992. Un volume relié à couverture
rigide marine, jaquette illustrée sur fond marine, 524 pages 16 x 24 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG56] Bon état (8/10),
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l'Europe entre en guerre, et
le Clipper de la Pan American — un fabuleux vaisseau des airs, le plus
luxueux hydravion jamais construit - décolle pour la dernière fois vers
l'Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille
; une princesse russe ; un couple d'amants ; un beau jeune homme, très
intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef
mécanicien, officier irréprochable soumis au plus odieux des chantages.
Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l'appareil.
Au-dehors... et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et
d'humour, dû au romancier de L'Arme à l 'oeil et du Code Rebecca |
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9. |
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Bernard LENTERIC. Les
maîtres du pain. Plon: 1993. Un volume relié à couverture
semi souple beige, 326 pages 16 x 24 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG56] Bon état (8/10),
A Perpezac, les hommes et les femmes vivent dans l'insouciance. La
douceur de vivre s'est installée un jour dans ce village de Corrèze et
ne l'a jamais quitté, même à l'approche de la Seconde Guerre mondiale.
Entre l'église et la place du village, Jérôme Corbières, mêlant la
farine, le levain, le sel et l'eau en une alchimie connue de lui seul,
pétrit, façonne et cuit le meilleur pain de la région. Maître Adeline,
le maître boulanger, a recueilli cet orphelin et, au fil des années, lui
a enseigné le secret du pain, faisant de lui le dernier maillon d'une
chaîne qui remonte si loin dans l'histoire des hommes qu'on n'en connaît
plus l'origine. Autour de Jérôme Corbières tout est bonheur. L'odeur des
foins coupés, les femmes au lavoir, les truites chapardées dans la
rivière, les lapins pris au collet et les secrets du fournil... Et puis
Jeanne. Sa femme belle et douce comme un soir d'été. Jeanne qui attend
un enfant. Le fils du boulanger. Pourtant, le malheur est tapi dans
l'ombre. Le destin de Jérôme Corbières est lourd de menaces... Jérôme
Corbières de Perpezac pourra-t-il transmettre son art et préserver son
bonheur malgré les tumultes qui s'annoncent? |
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10. |
Paul-Loup SULITZER. Kate.
Editions n°1/ Stock : 1990. Un volume relié à couverture rigide de couleur
verte, jaquette bleue, 434 pages, 16 x 25 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG67] Etat : bon (8/10)
Kate, Kate Killinger, c'est La Femme pressée acharnée à bâtir son
empire. Dans la tumultueuse Amérique des années trente, elle est prête à
tout braver : les foudres de son père, magnat de la presse new-yorkaise,
comme la guerre des syndicats. Sa seule fragilité, son seul déchirement
: sa passion pour H.H. Rourke, un inlassable chasseur de scoops, qui, de
la Longue Marche de Mao à la guerre d'Abyssinie, de l'efferves-cence
cubaine à la jungle birmane, nous donne à voir les fractures d'un monde
en plein bouleversement. |
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11. |
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Huguette MAURE. Vous avez dit
l'amour ? Calmann-Lévy : 1986. Un ouvrage relié à couverture rigide
cartonnée blanche, jaquette illustrée sur fond blanc, 258 pages, 16 x 24 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG68] Bon état (8/10).
Nous vivons une époque charnière. Après le "Moi aussi" des femmes
libérées et le "Moi d'abord" des femmes indépendantes, où en sont
aujourd'hui les femmes amoureuses ? Comment les hommes ont-ils réagi
face à cette nouvelle mentalité ? Qu'en est-il de la passion, du
mariage, de la fidélité, de la sexualité... ? Qui sont les amants
terribles des années 80... ? Une série de portraits et de variations sur
l'amour et ses acteurs, ses mythes, ses drames et ses fantasmes. Pour
tenter de mieux cerner cette mystérieuse et si troublante alchimie des
sentiments... de mieux comprendre ce que "aimer" veut dire… |
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12. |
Alex HALEY. Racines.
Un volume à couverture cartonnée rigide de couleur fauve, jaquette illustrée sur
fond argent, 478 pages, 15 x 23 cm. Prix:
3 €.
[N21CG71].
Etat: Très Bon (9/10). Poids : 600 g.
En cet été de 1767, il n'a pas encore seize ans, Kounta
Kintê, quand il est arraché à son village africain. Enlevé, marqué au
fer et jeté dans la cale d'un voilier en partance pour l'Amérique. Deux
mois de famine, de coups, de ténèbres puantes. Et, sur les quais
d’Annapolis, la honte d'être "vendu"... Sur une plantation de Virginie,
Kounta découvre d'autres Noirs…Qui parlent une langue inconnue et
peinent - étrangement résignés. Lui, Kounta, tentera de fuir. Quatre
fois. Jusqu'à ce qu'on lui coupe le pied! Une vie d'esclave, mais qui
s'ouvre à l'amitié, à l'amour peut-être. Elle est douce et bonne,
Mam'selle Bell, la cuisinière de la grande maison blanche, la demeure du
maître… En cette année 1788, Kounta Kinté, l'esclave, sait que jamais
plus il ne reverra son Afrique bien-aimée. Ni ne recouvrera la liberté.
Alors, pour survivre, s'affirmer, être un homme, il va fonder sa lignée
sur cette terre de Virginie. Il épouse Bell, une servante du maître. Une
fille naît: Kizzy... Ainsi commence l'épopée familiale de Kounta Kinté
passions héroïques, viols, séparations déchirantes, humiliations, et
pourtant passion de vivre et de donner la vie - pour que soit exaucé le
vœu de l'ancêtre africain. Tandis qu'au delà des batailles de la Guerre
de Sécession luit l'espoir de la liberté. Six générations, deux siècles
de fidélité. Jusqu'au jour où Bertha et Simon Haley ont un fils : Alex… |
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13. |
Pierre REY. Out. Un
volume à couverture cartonnée rigide de couleur noire, jaquette illustrée sur
fond blanc, 466 pages, 16 x 25 cm. Prix:
3 €.
.[N21CG73].
Etat Très Bon (9/10).
Poids : 800 g.
D'un côté, les banques suisses. Dans le secret de leurs caves blindées,
sous l'anonymat de leurs comptes à numéros, elles détiennent le quart
des richesses mondiales. Protégées par le fameux « secret bancaire »,
ces fabuleuses richesses font de la Suisse le coffre-fort de la planète:
De l'autre, la Mafia. Cosa Nostra possède ou contrôle, par le biais de
sociétés-écrans, 65 p. 100 au moins de toutes les entreprises
européennes et américaines réunies. Chiffre d'affaires pour l'exercice '
1974 : 20 000 milliards d'anciens francs. L'argent n'a pas d'odeur,
c'est connu. Sauf quand la guerre totale éclate entre ces deux
super-puissances occultes, le jour où les banques suisses défient la
Mafia. Ce jour-là, l'argent prend l'odeur du sang. Car si rien ne
résiste à Italo Bebe Volpone et à Don Ettore Gabelotti, les tout
-puissants chefs de famille du Syndicat, rien au monde ne peut faire
céder Homer Kloppe, le banquier de Zurich. |
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14. |
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Phillip ROCK. Et que sonnent
les cloches du temps. Traduit de l'anglais par Guy CASARIL. Un volume à
couverture cartonnée rigide de couleur fauve, jaquette illustrée sur fond beige,
426 pages, 16 x 25 cm. Prix:
3 €.
[N21CG73].
Etat Très Bon (9/10). Poids : 700 g.
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15. |
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Jules ROY. Le tonnerre et
les anges. Un volume à couverture cartonnée rigide de couleur fauve,
jaquette illustrée sur fond orange, 430 pages, 16 x 25 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG73
x2]. Etat Bon (8/10). Poids : 700 g.
Dernière partie de la sage "Les chevaux du soleil la saga
de l'Algérie, 1830-1962" qui comprend : Chronique d'Alger Une femme au
nom d'étoile Les cerises d'Icherridène Le maître de la Mitidja Les âmes
interdites Le tonnerre et les anges. Voici contée, de 1830 à 1962,
l'aventure commune de la France et de l'Algérie. Une aventure inouïe,
majestueuse, qui infusa à notre pays un sang qui n'a pas fini de
bouillir dans ses veines, car personne n'a jamais posé le pied en
Algérie sans tomber amoureux du pays. Un rêve qui n'a pas fini de hanter
les mémoires. Qui sait ? Un mirage. Une épopée aux répercussions
imprévisibles, dans une famille qui ressemble à tellement d'autres dans
les tempêtes, les exaltations et les avatars de plus d'un siècle. Une
légende où tout est peut-être plus vrai que la réalité. » |
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16. |
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Dominique FERNANDEZ. L'étoile rose. Un volume relié à couverture cartonnée rigide de couleur
fauve, jaquette paille, 430 pages, 15 x 23 cm.
Prix:
3 €.
[N21CG75] Bon état (8/10).
Jeté dans le double vacarme de l'Histoire et de son cœur,
David entreprend d'écrire, pour Alain, un récit complet de sa vie. Il
fixera pour eux les péripéties de leur amour, mêlées de près à ces
événements de 68 qui ont bouleversé, plus profondément qu'on ne croit,
les mœurs. Mais d'abord il parlera de son enfance, de sa jeunesse, d'une
époque à la fois si proche et si lointaine, qu'entre deux générations il
semble que plusieurs siècles se soient écoulés. Alain, le bel enfant de
mai, le cavalier ombrageux à la moto rouge, d'une chiquenaude a rejeté
sa famille et son éducation. Rien de tel pour David, de quinze ans son
aîné. Adolescent, il a découvert dans la honte et l'angoisse que ses
goûts faisaient de lui un réprouvé. Apaisé en un premier temps par les
conseils indulgents d'un ami psychanalyste, puis, sous des influences
plus toniques, refusant d'être traité comme un « cas », on le suit dans
toutes les étapes de ce chemin libérateur, qui va des « étoiles roses »
exterminées par Hitler aux communautés à ciel ouvert de San Francisco,
du peuple silencieux des maudits aux dissidents conscients de leurs
droits, des misogynes victimes de préjugés bibliques aux alliés naturels
de la cause féminine. Roman audacieux, encore jamais tenté, où, de .1943
à 1978, de l'Occupation à nos jours, de Paris à la province, de la
France à l'Amérique, du tiers monde à la Hollande, l'auteur a peint la
fresque la plus téméraire de notre temps. Garçons et filles par dizaines
se croisent dans cette Nocturne Comédie de nos mœurs, aussi chatoyante,
aussi allégrement séditieuse et ironiquement contestataire que le
carnaval napolitain de Porporino. A la fois procès d'une civilisation
entière, et hymne d'amour, L'Etoile rose éclaire d'une généreuse lumière
tous les ghettos de nos nuits. |
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17. |
Maguy LEBRUN. L'amour en
partage. Robert Laffont : 1991. Un volume relié à couverture cartonnée
rigide de couleur paille, jaquette illustrée sur fond de couleur blanche, 282
pages, 14 x 22 cm. Prix:
3 €.
[N21CG83] Très Bon état (9/10).
Avec des mots simples qui vont droit au cœur, Maguy
Lebrun nous délivre de nos angoisses et nous aide à entrevoir le sens de
la vie. Son premier livre, "Médecins du ciel, médecins de la terre",
connut un succès phénoménal. Elle y racontait sa rencontre avec
"l'invisible", la révélation de son don de guérisseuse, sa mission...
Aujourd'hui, elle rapporte les témoignages bouleversants de malades qui
ont retrouvé la santé ou la foi ; de mourants qui "sont partis"
confiants ; de ceux qui ont accepté plus facilement la disparition d'un
être cher parce qu'ils ont compris que la mort n'est pas une fin, mais
une étape. Un livre merveilleux qui déborde de chaleur, d'amour,
d'humour, d'espoir et de foi. |
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18. |
Elisabeth CHAVELET, Jacques de
DANNE. Avenue Foch. Derrière les façades … Balland : 1984. Un fort
volume à couverture cartonnée rigide de couleur verte, jaquette illustrée
couleur, 266 pages, 15 x 22 cm. Prix:
3 €.
[N21CG85] Bon état (8/10).
Ceux qui l'habitent ont accepté de recevoir les auteurs
de cette étonnante enquête : hommes politiques et hommes d'affaires,
diplomates, patrons de show business et de presse, grands couturiers,
avocats, veuves richissimes. Mais aussi les nouveaux venus, les émirs,
remplaçant ceux qui, lentement, abandonnent les lieux, les aristocrates.
Mais aussi les survivants d'une espèce aujourd'hui en voie de
disparition : les grands domestiques, qui vivent et travaillent dans ces
demeures parfois difficiles à imaginer, où l'on reçoit encore aussi
fastueusement qu'à la Belle Epoque. Et où, comme rien n'est médiocre
avenue Foch, les hold-up ont été fabuleux. |
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19. |
Alphonse BOUDARD.
Les
combattants du petit bonheur. La Table ronde : 1977. Un volume relié à
couverture cartonnée rigide de couleur beige, jaquette illustrée couleur, 316
pages, 15 x 22 cm. Prix:
3 €.
[N21CG85] Bon état (8/10).
Rois de la débrouille, ces combattants du petit bonheur,
Phonphonse, Musique, Neunoeil, Milo, nouveaux Pieds-Nickelés, traversent
les noires années de guerre armés de cet esprit de drôlerie qui en fera
des héros malgré eux. Voici le vol de la bicyclette d'un feldgendarme,
larcin bien encombrant. Voici de méchantes explications nocturnes dans
la rue, avec des copains passés de l'autre côté. Voici aussi le coup de
projecteur inattendu sur l'enfance abandonnée du petit garçon, confié
pendant trois ans à des fermiers du Loiret; plus tard la silhouette
merveilleuse de la grand-mère à qui il voue une fière gratitude. Voici
les roueries du marché noir, les grandes vacances au maquis et la
libération de Paris vécue rue Saint-André-des-Arts et place
Saint-Michel, et racontées en évitant d'enfler le ton. |
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20. |
Léon SCHWARTZENBERG, Pierre
VIANSSON-PONTE. Changer la mort. Un volume relié à couverture rigide
de couleur brune, jaquette illustrée couleur sur fond orange, 258 pages, 16 x 25
cm. Prix:
3 €.
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[N21CG93] Bon état (8/10).
Ce livre a pour auteurs un médecin cancérologue et un
journaliste.. Le médecin raconte ce qu'il voit, ce qu'il sent, ce qu'il
vit chaque jour : la maladie, la souffrance, la mort. Le journaliste
regarde le médecin et les malades, la douleur et le grand passage comme
chacun peut le faire : avec révérence et horreur, avec résignation et
peur. Ils ne dialoguent pas, male s'expriment tour à tour, et sans
précautions, sans ménagements, sans concessions. La mort a changé, la
mort change, comme la vie. a changé, comme la vie change. Et aussi la
souffrance, et la maladie, et la médecine, et la santé. Il est
parfaitement vain de vouloir l'ignorer, de refuser de le, s'avoir. Bien
sûr, il faut aller son chemin comme si l'on ne devait jamais mourir,
sans quoi pourrait-on vivre ? Est-ce une raison pour fermer les yeux, se
boucher Ies oreilles et mettre un doigt sur ses lèvres à lui façon du
magot ? Vive la vie, à bas la mort - seulement voilà c'est important la
mort, ne croyez-vous pas Mieux, vaut savoir que subir, savoir avant de
subir. Qu'ils sont nombreux à proposer, à promettre de changer la vie !
Pourquoi personne ne propose-t-il, ne promet-il de changer la mort ? |
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Dernière mise à jour le
05/06/2021
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