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Ouvrages choisis par les éditions France Loisirs.
1. |
Michel PEYRAMAURE.
Les bals de Versailles. Un volume relié à
couverture cartonnée rigide de couleur rouge, jaquette illustrée sur fond
violet, 454 pages, 13 x 21 cm.
Prix: 3 €.
[N21CG73].
Etat
Très Bon (9/10). Poids : 550 g. "À la grande
fresque romanesque de l'Histoire de France qu’écrit Michel Peyramaure – de
Vercingétorix à Jeanne d'Arc, d’Henri IV à Napoléon, de la Révolution au
début du XXe siècle –, manquait le Grand Siècle. Aujourd’hui il fait revivre
cette époque à travers les femmes que le Roi a aimées… Les hasards des rues
de Paris mettent en relation Nicolas Chabert, jeune homme intelligent et
secrètement ambitieux, et Paul Scarron, l'illustre auteur du «Roman
comique», et donc avec Françoise d'Aubigné, son épouse. En s'attachant au
destin de celle qui sera Mme de Maintenon, Chabert observe les intrigues et
les passions de la cour – toute cette tragi-comédie d'ombres et de lumières
qui se joue dans les coulisses et sur le théâtre de Versailles. Il voit
passer les grandes favorites: Marie Mancini, Louise de Lavallière, Mme de
Montespan, Mlle de Fontanges – et disparaître selon la fantaisie du Roi.
Seule, discrète et obstinée, Françoise d'Aubigné, devenue marquise de
Maintenon, creuse son sillon dans cette folle société. Jusqu'à devenir
l'épouse de Louis XIV… Un récit romanesque éclatant des lumières d'une fête
perpétuelle." |
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2. |
Françoise PREVOST. L'amour nu. Un volume relié à couverture
cartonnée rigide de couleur marine, 232 pages, 13 x 21 cm.
Prix: 3 €.
[N21CG73].
Etat
Bon (8/10). Poids : 300 g. Récit
autobiographique de Francoise Prevost, l'histoire d'une femme qui préfère
rompre avec son amant sans rien lui dire du cancer dont elle est atteinte. |
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3. |
Régine
PERNOUD. La femme au temps des cathédrales. Un volume relié à
couverture toilée rigide de couleur blanche, 302 pages, 13 x 23 cm.
Prix: 3 €.[N21CG97 CG124]
Bon état (8/10).
La femme
a-t-elle toujours été cette perpétuelle mineure qu'elle fut au XIXe siècle ?
A-t-elle toujours été écartée de la vie politique comme elle le fut dans la
France de Louis XIV ? N'a-t-elle jamais eu plus d'indépendance économique
que celle que lui concédait l'autorisation maritale ? Régine Pernoud, avec
son expérience de médiéviste et d'archiviste, s'est attachée depuis
longtemps à l'étude de ces questions. Ses ouvrages consacrés à Héloïse, à
Aliénor d'Aquitaine, à la Reine Blanche y donnaient partiellement réponse.
Pour en finir avec le Moyen Age contenait, sur le statut de la femme, un
raccourci qui a frappé bien des lecteurs et attiré l'attention des
critiques, leur faisant souhaiter plus long développement sur le sujet.
C'est ce développement qu'on trouvera dans La Femme au temps des
cathédrales: on y apprendra que le plus ancien traité d'éducation est dû en
France à une femme, que la médecine était exercée couramment par des femmes
au XIII siècle, qu'au XII siècle l'Ordre de Fontevraud réunissait aussi bien
les moines que les moniales sous l'autorité d'une abbesse. Sait-on qu'aux
temps féodaux, les filles étaient majeures à 12 ans, deux ans avant les
garçons ? Et sait-on que ce n'est qu'au XVIIe siècle que la femme a dû
prendre obligatoirement le nom de son époux ? Etude systématique menée à
travers une multitude d'exemples concrets, elle ne laisse échapper aucun
aspect des activités féminines au cours de la période féodale et médiévale:
administration des biens, métiers et commerce; domaine de la pensée, de la
littérature, de la politique même; femmes écrivains, éduca-trIces'
suzeraines, celles qui animèrent les cours d'amour et celles qui ont inspiré
les romans de chevalerie. Plus encore, l'auteur, puisant aussi bien dans
l'histoire du droit que dans celle des événements et des faits sociaux,
dessine ce qui n'avait pas encore été tenté, un schéma de l'évolution du
pouvoir de la femme: depuis les origines - les libertés et l'autonomie par
elle conquises - la période d'apogée, puis le déclin sous diverses
influences - celle de l'Université notamment -jusqu'au moment où en 1593 un
édit du Parlement de Paris lui interdit toute fonction dans l'Etat. Beaucoup
d'autres traits de société sont ainsi à découvrir dans l'étude de Régine
Pernoud, très approfondie, mais comme toujours alerte et d'une lecture
captivante. Un maître-livre, hors duquel désormais toute vision de la
question ici abordée restera incomplète. |
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4. |
Belva PLAIN. La
splendeur des orages. France Loisirs. Presses de la
Renaissance: 1983. Un ouvrage
relié à couverture rigide, verte, 483 pages, 16 x 25 cm.
Prix: 3 €. [N21CG125]
Bon état (8/10).
Autrefois, l'île de Saint-Félice était peuplée d'Indiens à la peau
cuivrée. Et puis les Blancs sont arrivés; ils ont planté la canne à
sucre et fait venir d'Afrique des Noirs qu'ils ont enchaînés, et des
femmes qu'ils ont violées... Teresa Francis a la peau blanche, quinze
ans et ne sait rien de la vie. Elle ne sait pas que son teint, privilège
et provocation, poussera ce garçon presque aussi jeune qu'elle à
enfreindre les vieux tabous. Aujourd'hui, les hommes de Saint-Félice
s'entre-tuent. Parce que leur peau va du noir au blanc. Parce que les
planteurs ont eu des enfants de leurs servantes noires et indiennes.
Parce que lès adolescentes comme Teresa ne connaissent rien de la vie.
Les hommes de-Saint-Félice s'entre-tuent, et pourtant ils sont frères. |
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5. |
Gilles PERRAULT. Le dérapage. France Loisirs. Mercure de
France: 1987. Un ouvrage relié à couverture rigide, rouge, jaquette
illustrée couleur sur fond blanc, 186 pages, 14 x 21 cm.
Prix: 3 €. [CG171]
Bon état (8/10) |
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6. |
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Françoise
PARTURIER. Le sexe des anges. Un volume relié à couverture
rigide de couleur rouge, jaquette illustrée, 363 pages, 16 x 24 cm.
Prix: 3 €. [N21CG113]
Très Bon état (9/10).
Quand la police judiciaire sonna, le professeur Hilartin,
éminent spécialiste de l'histoire du baroque, buvait son thé. Il était
sept heures du matin. L'interogatoire pouvait commencer. Au
commencement, une histoire de débauche, qui devient une histoire de
meurtre. Dans cette affaire, le professeur est le premier suspect.
Est-il vraiment coupable, ou simplement victime d'une machination ? En
attendant, il ne demande qu'une chose : qu'on étouffe le scandale...
Pendant ce temps, la jolie nièce du Professeur, France, se prépare à un
dîner brillant, où Hilartin voulait la présenter au Tout-Paris. Mais la
fête n'est-elle pas à jamais compromise ? Des appartements somptueux du
bord de Seine au soleil de Marrakech ou de Caracas, Françoise Parturier
nous entraîne dans un éblouissant polar. Mieux encore : avec humour, et
sans ménagement, elle nous livre les secrets d'une haute société où luxe
et luxure font trés bon ménage... |
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7. |
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Alain PUJOL. Les mémés.
France Loisirs. Pré aux Clercs : 1985. Un ouvrage relié à couverture
cartonnée rigide de couleur orange, jaquette illustrée couleur, 246 pages,
15 x 23 cm.
Prix: 3 €. [N21CG108]
Bon état (8/10). |
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8. |
Marie-France PISIER.
Le bal du Gouverneur. France
Loisirs, Grasset:
1984. Un volume à
couverture rigide, toilée marine, fers or, jaquette illustrée couleur,
204 + XII
pages, 15 x 21 cm.
Prix:
2 €.
[CG151] Etat :
Bon (8/10)
Au collège de Nouméa, Théa Forestier n'est pas une élève comme les
autres. Elle a quinze ans à peine. Mais sous sa robe à smocks, son
visage lisse et sa frange bien nette se cache un petit carnassier cruel,
une belle âme de réfractaire. Son frère et elle s'aiment à la vie, à la
mort. Avec Isabelle Demur, sa meilleure amie, elles veulent tout
partager. Tout, tout de suite. Ivre de sensations nouvelles, elle joue
la passion, la haine, la souffrance, la peur, le plaisir. Elle humilie
son amoureux, terrorise Isabelle. Cachée derrière les flamboyants, les
bougainvillées, elle espionne sa mère qui, tous les matins, disparaît
pour d'étranges promenades à cheval. Chronique tumultueuse du monde des
colonies à l'heure où la IVe République agonise, Le Bal du Gouverneur en
restitue la violence, la sensualité et les sortilèges. Vous y apprendrez
les mille et une manières d'utiliser une bicyclette, la valeur
inestimable des cagous - ces oiseaux qui aboient -, comment les cornes
de nacre repoussent les requins-marteaux, comment une adolescente peut,
seule, neutraliser un phare, comment on tue des « bagnards » avant
l'arrivée du ministre... et comment on peut - presque - mourir d'amour. |
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9. |
Georges PASTRE.
Le français télé .... visé. France
Loisirs, Belfond:
1986. Un volume à
couverture rigide, marine, jaquette illustrée couleur,
sur fond jaune, 217
pages, 15 x 23 cm.
Prix:
5 €.
[CG174] Etat :
Bon (8/10)
"Si aujourd'hui les fautes de langue prolifèrent, la télévison n'y est
pas étrangère." Ce bêtisier a vingt ans, et ça ne s'est vraiment pas
arrangé. |
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10. |
Katherine PANCOL. Encore une danse. France
Loisirs, Fayard:
1998. Un volume à
couverture rigide, brune, jaquette illustrée couleur,
349
pages, 14 x 21 cm.
Prix:
3 €.
[CG174] Etat :
Bon (8/10)
Ils forment une bande d'amis: Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe
et Rapha. Ils ont grandi ensemble à Montrouge, banlieue parisienne. Ils
ont habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se
sont jamais quittés. Lorsqu'ils sont devenus adultes, leurs vies ont
pris des tournants différents mais leur amitié a résisté au temps, à la
réussite des uns, aux échecs des autres. Leurs espoirs, leurs illusions
se sont réalisés ou envolés. Ils se retrouvent comme avare, pratiquent
toujours leurs rites d'amitié même si leur « musique »parfois, émet des
fausses notes qu'ils s'empressent d'oublier de peur de troubler cette
belle harmonie qui leur est nécessaire pour affronter la vie, la peur de
vivre. Mais une nouvelle épreuve, plus sournoise, plus terrible,
s'annonce. Face à elle, ils ne peuvent pas tricher. Les masques vont
tomber. Le groupe menace de voler en éclats. de révéler des trahisons,
grandes ou petites, et mille ressentiments longtemps cachés.
Arriveront-ils à franchir cette étape inattendue qui les met chacun face
à eux-mêmes, qui les oblige à faire le point sur ce qu'ils sont devenus
sans complaisance ni lâcheté? C'est le sujet de ce roman où les enfants
ont grandi, ont vieilli et doivent abandonner le trouble paradis de
l'enfance, des apparences, pour affronter la vie, et conjurer la peur
qui nous saisit tous quand il s'agit de devenir grands… |
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11. |
Belva PLAIN. Les cèdres de Beau-Jardin.
France Loisirs. Presses de la
Renaissance: 1984. Un ouvrage
relié à couverture toilée rigide, grise, titres or sur le plat et le dos,
561 + VI pages, 14 x 21 cm.
Prix: 4 €. [CG175]
Bon état (8/10).
Au printemps 1835, à bord du brick la "Mirabelle", Miriam et David
partent à la découverte de l’Amérique. Après la mort de leur mère dans
un petit village de Franconie, assassinée huit ans auparavant par des
militants anti-juifs, leur père, Ferdinand Raphael, est allé tenter sa
chance à la Nouvelle-Orléans. Fortune faite, entouré de nombreux
domestiques noirs, Ferdinand accueille ses enfants pour leur offrir une
existence opulente et libre dans une Louisiane qu’il chérit tant, le
pays du bayou, des cajuns et des créoles. Mais David, fidèle aux écrits
de la tradition juive, n’accepte pas ce monde où des hommes sont réduits
à l’esclavage : il décide alors de rejoindre le Nord et y entame des
études de médecine. Après le départ de son frère adoré, la jeune Miriam
est mariée, sans amour véritable, à un riche homme d’affaires de la
ville, et s’installe dans l’immense demeure de Beau-Jardin. Sous les
cèdres centenaires de la propriété, elle découvre bientôt les joies et
les peines de la passion amoureuse. Mais au loin, gronde déjà la guerre
de Sécession, et le terrible dilemme pour Miriam d’un frère acquis à la
cause nordiste et d’un amant qui se bat pour le Sud… |
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12 |
Marcel PAGNOL. La gloire de mon père. France Loisirs.
Editions de Fallois: 1990. Un ouvrage
relié à couverture rigide, grise, titres or sur le plat et le dos,
372 + X pages, 14 x 21 cm.
Prix: 3 €. [CG28]
Bon état (8/10).
Parce que j'ai maintenant des petits-enfants, j'ai souvent envie de
raconter des histoires : c'est la fonction naturelle des grands-pères,
et peut-être leur plus grand mérite. Le mien me racontait Peau d'Ane, la
Belle et la Bête, Riquet à la Houppe; mais aujourd'hui, les fées ne
s'amusent plus à changer une citrouille en carrosse, et c'est grand
dommage, car elles nous feraient, avec un potiron, une Citroën, avec un
concombre, une Dauphine, et avec une hirondelle, une Aronde... Pour moi,
j'ai préféré vous raconter l'enfance d'un petit garçon, qui fut aussi
celle de vos grands-pères, et qui n'est peut-être pas très différente de
la vôtre, car les petits garçons de tous les pays du monde et de tous
les temps ont toujours eu les mêmes problèmes, la même malice, les mêmes
amours. |
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13 |
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Jodi PICOULT. Pour que justice soit faite. France Loisirs.
Presses de la Cité: 2003. Un ouvrage
relié à couverture rigide, noire, jaquette illustrée couleur,
506 pages, 13 x 21 cm.
Prix: 3 €. [CG184]
Bon état (8/10).
«Quand le monstre franchit enfin le seuil, il portait un masque. Elis le
dévisagea longuement, ébahie que personne d'autre ne puisse le percer à
jour. C'était votre voisin en train d'arroser son forsythia. L'étranger
qui vous sourit dans l'ascenseur. Le brave type qui prend un enfant par
la main pour l'aider à traverser la rue.» Nina est substitut du
procureur et s'occupe quotidiennement des pires crimes de son comté.
Quand le petit Nathaniel, son propre fils, perd l'usage de la parole du
jour au lendemain, elle comprend vite la vérité et pressent le cauchemar
dans lequel sa famille va être plongée. Son fils a été victime de
sévices sexuels, et Nina, mieux que personne, sait que les coupables ne
sont pas toujours punis. Alors, a-t-on le droit de se faire justice
soi-même ? Un roman palpitant qui pose un problème de conscience aux
personnages et à chacun d'entre nous. Jodi Picoult est née aux
États-Unis. Après de brillantes études de littérature et de pédagogie à
Princeton et Harvard, elle se consacre à l'écriture. Ses romans, qui
abordent des sujets de société brûlants, sont des best-sellers tant en
Europe que dans son pays. Les Éditions J'ai lu ont notamment publié Le
cercle de Salem et La pure vérité. Extrait du livre : J'ai
toujours excellé dans les réquisitoires. Pratiquement à l'improviste, je
suis capable d'entrer dans une salle d'audience, de faire face au jury
et de prononcer un discours qui enflamme chacun de ses membres. Le
travail bâclé m'exaspère; je préfère que tout soit bien ficelé pour
pouvoir passer au cas suivant. Mon supérieur hiérarchique dit à qui veut
l'entendre qu'il a un faible pour les procureurs qui ont été garçon de
café ou serveuse dans une vie antérieure - et qui ont donc pris
l'habitude de jongler avec leur chargement. En ce qui me concerne, j'ai
travaillé au rayon des paquets cadeaux d'un grand magasin pour financer
mes études de droit; ça se voit. Ce matin, je dois prononcer un
réquisitoire dans un procès pour viol et j'ai une audition de
compétence. Cet après-midi, j'ai rendez-vous avec une spécialiste de
l'ADN, à propos d'une tache de sang dans une voiture accidentée, où l'on
a trouvé de la matière cérébrale n'appartenant ni au chauffard ivre,
accusé d'homicide involontaire, ni à la passagère qui a été tuée. Je me
remémore tout cela tandis que Caleb passe sa tête dans la salle de
bains. Le reflet de son visage s'élève comme un astre lunaire dans mon
miroir. - Comment va Nathaniel ? Je ferme le robinet, puis je m'enroule
dans un drap de bain. - Il dort. Dehors, sous son appentis, Caleb charge
son camion. Il est maçon et construit des chemins de brique, des
cheminées, des marches de granit et des murs de pierre. Il sent l'hiver,
une senteur qui coïncide dans le Maine avec la récolte des pommes. Sa
chemise de flanelle est zébrée de la poussière qui recouvre les sacs de
ciment. - Toujours fiévreux ? insiste-t-il en se lavant les mains dans
l'évier. - Ça va ! Ma réponse fuse, bien que je ne sois pas encore allée
voir mon fils ce matin. |
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Dernière Mise à jour : le
samedi, 05. juin 2021
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