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1. |
Daniel GOLDENBERG. Papa Poule en vacances.
JC Lattès: 1981. Un ouvrage broché à couverture illustrée couleur, sur
fond jaune, 196 pages, 14 x 21 cm. Prix:
3 €.
[CG179] Etat :
Assez Bon (7/10) Bernard Chalette
n'est pas un père comme les autres. Ses épouses successives ne
supportant pas la vie de famille, il élève seul et heureux ses quatre
enfants. Comme plus on est de fous plus on rit, il emmène en vacances
non seulement ses petits mais aussi - son neveu, les enfants de son
copain Charles et quelques autres encore ! Leur navigation 'sur
l'Ardèche évoque une descente des rapides du Colorado et celle sur la
Seine devient une promenade romantique pleine d'espoir pour un homme
amoureux. Chaque page ruisselle de gaieté, de fraîcheur et de fantaisie. |
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2. |
Nicolas GOGOL. Les âmes mortes. Roman traduit du russe par R.
HOFMANN. Editions Corréa : 1946. Un volume broché à couverture cartonnée
souple, de couleur blanche et rouge, 378 pages, en partie non coupées,
12 x 19 cm.
Prix: 6
€.
[L65]
État : Bon (8/10).
Et que voulez-vous faire de cet état?» s'enquit alors Manilov. Cette
question parut embarrasser le visiteur; il rougit et sembla faire effort
pour chercher ses mots. De fait, il était réservé à Manilov d'entendre
des choses extraordinaires, comme jamais encore oreille humaine n'en
avait ouï. «Vous désirez savoir ce que j'en veux faire ? Voici : je
désire-acheter des paysans... prononça enfin Tchitchikov qui s'arrêta
net. — Permettez-moi de vous demander, dit Manilov, comment vous désirez
les acheter : avec ou sans la terre ? — Non, il ne s'agit pas
précisément de paysans, répondit Tchitchikov : je voudrais avoir des
morts... — Comment? Excusez... je suis un peu dur d'oreille, j'ai cru
entendre un mot étrange. — J'ai l'intention d'acheter des Morts...» |
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3. |
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4. |
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Francisco GOLDMAN. Dire son nom. Traduit de l'anglais
(Etats-Unis) par Guillemette de
Saint-Aubin. Collection : Littérature étrangère. Éditeur :
Bourgois, Paris: 2011. Description : 422 pages; (21 x 14 cm) EAN13
: 9782267022063.
Prix:
5 €.
[CG184]. Résumé Suite au
décès de sa femme Aura Estrada, Francisco Goldman a entrepris l'écriture
de ce texte souvenir, chronique d'un amour perdu. Il retrace l'enfance
de la jeune femme, ses brillantes études au Mexique et les moments
fondateurs de leur relation de couple. Prix Femina étranger
2011. Quatrième de couverture
«Si l'on pensait connaître quelque chose des brûlures de l'amour, du feu
ardent de la perte, lire ce livre c'est se retrouver face à un
chalumeau. [...] Dire son nom est violent, drôle, puissant et
magnifique.» Annie Proulx «L'écriture de ce livre est pleine de beauté.
[...] Et, Dieu soit loué, il en est ainsi, car seule la beauté pouvait
sauver une histoire aussi triste.» Richard Ford «Dire son nom tient le
lecteur en haleine en le faisant voyager de Brooklyn à Mexico, et
parvient à rendre l'essence de deux mondes, deux êtres assez chanceux
pour tomber amoureux.» Colm Tóibín «Bien loin de nous écraser par la
perte et le désespoir, Goldman a forgé un chef-d'oeuvre rayonnant et
transcendant.» Booklist |
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5. |
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Goldie GOLDBLOOM. Gin et les italiens. Traduit de
l'anglais (Australie) par Éric
Chédaille. Éditeur : Bourgois, Paris: 2011 Collection :
Littérature étrangère.
Un volume broché 12 x 20 cm, à couverture cartonnée
souple illustrée, 418 pages. Prix:
5 €.
[CG184]. Résumé Gin est
albinos. Après son mariage, elle se retrouve dans une ferme sur les
terres reculées du bush australien où les villageois se moquent d'elle.
Jusqu'au jour où en 1944, Antonio et John, deux prisonniers de guerre
italiens, sont placés chez elle et son époux comme ouvriers agricoles.
Elle va alors imaginer une vie plus vaste. Prix
de l'Association of Writers and Writing Programs (AWP) 2008.
Quatrième de couverture Gin aurait pu devenir une pianiste de
talent. C'était compter sans son beau-père malfaisant qui l'a fait
interner dans un hôpital psychiatrique. Aussi, quand l'étrange Mr Toad
la demande en mariage, voit-elle dans sa proposition la possibilité de
fuir ce lieu hostile. Elle accepte et part s'installer avec lui dans les
terres reculées du bush australien. Mais rien dans son éducation
bourgeoise ne l'avait préparée à cette vie étriquée et misérable. Elle
doit aussi se familiariser avec son nouveau rôle de mère et d'épouse.
Surtout, elle doit subir le regard inquisiteur des gens du village,
intrigués par son teint d'albinos. Tout change un jour de 1944, lorsque
arrivent Antonio et John, deux prisonniers de guerre italiens placés
chez eux comme ouvriers agricoles. Le souffle qu'ils apportent, bercé
par les airs d'opéra, bouleverse le fragile équilibre bâti par Gin, qui
se prend à rêver de plus vastes horizons. Un rêve d'évasion partagé par
Antonio, avec qui elle se lie d'une douce complicité. Au risque de s'y
perdre ? |
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6. |
Edmond et
Jules de Goncourt. Sœur
Philomène. Postface de Lucien
Descaves. Édition
définitive, publiée sous la direction de l'Académie Goncourt. Paris, Flammarion, Fasquelle, 1936. In-18, 262 pages.
Prix: 6
€.
[L35] Bon état. |
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7. |
Edmond et
Jules de Goncourt.
Quelques créatures de ce temps. Édition définitive, publiée
sous la direction de l'Académie Goncourt. Paris, Flammarion, Fasquelle, 1927. In-18, 278 pages.
Prix: 6
€.
[L35] Bon état. |
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8. |
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9. |
Edmond et Jules
de Goncourt. La Faustin.
Édition définitive, publiée sous la direction de l'Académie Goncourt.
Paris, Flammarion, Fasquelle, sd. In-18, 278 pages.
Prix: 6
€.
[L35]
Bon état. Au centre de La Faustin, une comédienne
du Théâtre-Français, Juliette Faustin, accompagnée, en guise de
faire-valoir, d'une actrice de vaudeville, sa petite sœur Maria, dite
Bonne-Âme, en qui le lecteur du Journal reconnaît sans hésiter Gisette
Dennery, - comme il reconnaît Dennery en Carsonac. L'intrigue ?
Sentimentale à souhait, en apparence. Juliette Faustin retrouve à Paris
un ancien amant anglais, qu'elle avait connu sous le nom William Rayne,
et qui est devenu lord, lord Annandale. Tous deux reprennent leur
liaison; par amour, elle abandonne le théâtre, qui était toute sa vie,
et sa ville, Paris, à laquelle mille fibres l'attachaient. Ils se
retirent à l'étranger, et vivent dans une villa isolée, entourés de
quelques excentriques ou originaux, Angleterre oblige. |
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10. |
Olivier
GOLDSMITH. Le vicaire de Wakefield. Collection "Auteurs célèbres". C Marpon et
E Flammarion, Paris : sans date (2e moitié du XIXe siècle). Un volume broché 11 x 17 cm, à couverture
cartonnée souple de couleur beige, 250 pages.
Prix:
10 €.
[N21CG63] État bon, malgré un
manque à la jonction dos et 1er plat. Huit ans avant sa mort, Olivier
Goldsmith publie ce qui restera son seul roman : Le Vicaire de
Wakefield. Le succès n’est pas au rendez-vous, il sera long à venir mais
durable. Il existe déjà six traductions quand, en 1838, Charles Nodier
entreprend la sienne. Ce roman est une synthèse des sujets et des thèmes
familiers aux grands romanciers anglais du XVIIIe siècle. De Fielding,
il retient le picaresque mais accentue le comique, de Richardson, il
reprend un ressort narratif classique, la jeune fille pure poursuivie
par un séducteur sans scrupule. L’intrigue est digne de l’ironique “Tout
va très bien, Madame la Marquise”. Le révérend Primrose est confronté à
tous les malheurs du monde qui, un à un, vont s’abattre sur lui et sa
famille. Sans le savoir peut-être, Olivier Goldsmith nous donne un des
premiers romans de l’introspection. Son sentimentalisme, délivré du
puritanisme, est humain, humanitaire, éthique même, et mènera au
romantisme ; son réalisme est psychologique autant que social ; son
ironie charitable va de pair avec une bonhomie clairvoyante, qui rend
d’autant plus attachant ce personnage du Vicaire en qui Goldsmith a
sûrement mis une part de lui-même. |
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11. |
A de GONDRECOURT. Un ami diabolique. Troisième édition. Alexandre Cadot, Paris
: sans date. Un volume broché 12 x 19 cm, à couverture cartonnée souple de
couleur jaune, 310 pages. Prix:
20 €.
[N21CG63] État :assez bon.
Rare! |
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12. |
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J-M. GODEFROY. Le pilote solitaire. Arthaud: 1944. Un
volume broché à couverture souple blanche, 252 pages, 13 x 19 cm.
Prix: 6 €.
Commande -
Message. [CG168]Etat:
Bon (8/10). |
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13. |
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Jacob
GOLOSSOVKER. Le roman brûlé. Traduit du russe par Wladimir
BERELOWITCH. Préface de Sigurd SCHMIDT. Le don des langues. Seuil,
Paris : 1995. Un volume à couverture cartonnée souple illustrée (photo
couleur), cartonnage blanc de l'éditeur, 124 pages, 14 x 21 cm.
Prix:
6 €.
[N21CG15] Bon état.
La Russie soviétique n'a pas fini de livrer ses secrets :
voici ressurgir une œuvre étrange, l'une des plus originales qui aient
vu le jour dans la Russie du XXe siècle. Son auteur, Jacob Golossovker,
en a placé la destruction et la résurrection au cœur même de son récit.
A la manière du Maître et Marguerite de Boulgakov, qui s'en est
peut-être inspiré, Le Roman brûlé est une méditation sur la survie de
Dieu dans le monde soviétique. Dans la sombre Moscou des années 1920, le
Messie réapparaît sur le mur d'une église transformée en asile
d'aliénés, puis, provoqué par un malade qui pourrait être l'auteur du
manuscrit brûlé et réécrit par les autres patients, tente d'aller dans
le monde, démontrant, tel l'Idiot de Dostoïevski, son inutilité dans un
univers qui le rejette totalement. La persistance même du manuscrit est
un défi du spirituel face au monde soviétique, au monde moderne, décrit
comme une orgie de pouvoir, de débauche et de violence, comme une misère
de l'homme sans Dieu, tout comme la réécriture de l'œuvre, réellement
détruite et reconstituée par Golossovker après la guerre, fut une forme
de résistance spirituelle au silence stalinien. Si bien qu'en refermant
ce livre, le lecteur se demande si ce tragique constat d'impuissance
n'est pas aussi une réaffirmation douloureuse de valeurs éternelles. |
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14. |
Ivan
GONTCHAROV. Oblomov. Traduit du russe par Luba JURGENSON.
Préfacé par Jacques CATTEAU. Collection Classiques Slaves. Éditions l'âge
d'homme, Lausanne : 1988. Un volume à couverture cartonnée souple de couleur
paille, cartonnage éditeur avec rabats, 476 pages, 15 x 24 cm.
Prix:
20 €.
[N21CG16] Bon état.
Rare Oblomov
? D’abord un mythe littéraire aussi vivant et emblématique en Russie que Don
Juan, Don Quichotte ou Faust pour le reste du monde. Et ce mythe a inspiré
un néologisme : l’oblomovisme. Une manière d’être, de penser, d’imaginer et
surtout de patienter. En un mot, une manière slave de vivre. Oblomov, dans
le moelleux de sa vieille robe de chambre orientale, est un propriétaire
terrien. Un personnage qui laisse passer le temps. Parler de paresse serait
trop simple. Oblomov se livre plutôt à une sorte de rêverie utopique et
engourdissante. Alors il peut renouer avec les dorlotements de son enfance.
Proie facile, il est exploité, grugé, dépouillé par son entourage. Et sa
fiancée Olga a bien du mérite à vouloir le sauver. En fait, Oblomov va tout
perdre, jusqu’à sa santé. Mais dans une sorte de bonheur léthargique,
d’humilité et d’accomplissement accepté du destin.
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15. |
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16. |
Herbert GOLD.
Le boum à l'américaine. Calmann-Lévy : 1971. Un volume broché, à couverture
cartonnée souple, de couleur blanche et orange, 306 pages, 14 x 21 cm.
Prix: 5 €.
[N21CG36] Assez bon état. |
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17. |
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18. |
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19. |
Anne et Serge GOLON. Marquise des anges. II Le chemin de Versailles.
Colbert : 1957. Un volume à couverture cartonnée rigide, jaquette illustrée,
398 pages 15 x 23 cm. Prix: 4 €.
[N21CG40] État : assez bon.
Angélique a découvert les joies
voluptueuses de l'amour dans les bras de son mari, le comte Joffrey de
Peyrac. Conviés au mariage du jeune Louis XIV, la beauté resplendissante
d'Angélique autant que respect terrifiant de celui qu'on appelle "le grand
boiteux du Languedoc" suscitent l'admiration de la cour. Hélas, ce bonheur
est trop insolent pour ne pas déplaire...Pour avoir provoqué le ressentiment
de l'Eglise et la jalousie du roi, le comte de Peyrac, accusé de
sorcellerie, est enfermé à la Bastille et promis au bûcher. Négligeant toute
prudence, Angélique refuse d'abandonner l'homme qu'elle aime et tente
d'organiser sa défense. Très vite elle s'aperçoit que sa propre vie est
menacée... |
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20. |
John GODEY. Arrêt prolongé sous Park Avenue. Traduit de
l'américain par Jacques HALL et Jacqueline LAGRANGE. Flammarion: 1973.
Un volume broché à couverture cartonnée souple illustrée d'une photo
noir et blanc, 322 pages 14 x 20 cm. Prix: 4
€.
[CG151] État : Bon (8/10).
« Nous exigeons un million de dollars pour libérer le wagon et les
voyageurs. Il est actuellement deux heures treize... L'argent doit nous
être remis dans une heure. Passé ce délai, nous tuerons un otage chaque
minute. Tout est bien noté? » Tel est le message radio qui vient de
parvenir à la Transit Authority, au cœur de New York. Depuis quelques
instants, dans les entrailles de la ville, non loin de Central Park,
quatre gangsters armés et prêts à tout bloquent un wagon du Pelham 123
et retiennent en otages seize voyageurs. Et tout aussitôt l'immense cité
bascule dans la fureur et la panique, tandis que s'engage une implacable
course contre la montre qui jette dans le drame la police, les autorités
politiques, la Banque fédérale et la télévision. Un récit haletant et
dur, à l'exacte image de notre époque - où terrorisme politique et vol à
main armée se sont rejoints pour instaurer « te temps des otages ». |
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Dernière Mise à jour : le
samedi, 05. juin 2021.
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