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Récits, romans, contes et nouvelles.

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Henri VINCENOT. Prélude à l'aventure: récit inédit, 1941.

Editeur : Editions Anne Carrière: 2012.
Broché: 124 pages
ISBN-10: 2843376793, ISBN-13: 978-2843376795 [P] Etat: Très Bon (9:10)
Format: 20,2 x 14 x 1,2 cm

À dix-sept ans, Henri Vincenot, lors d’une partie de chasse avec son grand-père, l’aïeul initiateur de La Billebaude, se perd dans les bois et les friches. Cherchant son chemin, il tombe en arrêt, ébloui, sur un hameau en ruine au creux d’une petite combe bourguignonne. Se déclarant alors « Prince charmant d’une Belle endormie », il se prend de passion pour l’endroit et déclare au chien fidèle qui l’accompagne : « Tu vois, c’est ici que je passerai mes jours ! » Telle est la grande révélation contée à la fin de La Billebaude. Passade d’un adolescent excentrique et rêveur ? Pas tant que cela ! En effet, son diplôme d’HEC en poche, une fois marié avec Andrée, qui le suit dans ses rêves, après aussi quelques expériences professionnelles qui le « dégoûtent » du monde, Henri imagine tout abandonner du siècle et de ses leurres pour installer sa famille dans ce lieu perdu mais magique. Il a trois petits enfants, une épouse vaillante et enthousiaste. Le jeune couple va tout mettre en œuvre, sous la houlette d’Henri, pour préparer cette aventure digne des pionniers du Nouveau Monde, menant une vie à la dure, sans le confort ni les plaisirs « tout faits » que procure la vie moderne. Prélude à l’aventure a été écrit en 1941, en pleine Occupation. Cet hiver-là est extrêmement rigoureux : peu de bois de chauffage, des nuits glaciales, des tickets de rationnement qui n’assurent pas une nourriture suffisante, presque pas de médicaments pour soigner les maladies infantiles… Et pourtant, dotés d’un optimisme inébranlable, les amoureux partent, avec tente et outils de bûcheronnage, poser les premiers jalons de leur paradis futur. Vincenot a vingt-neuf ans et, déjà, tout ce qui fera le charme puissant de La Billebaude : l’amour sensuel d’une nature sauvage, parfois cruelle mais toujours ensorceleuse ; le mot juste pour parler des saisons, des arbres et des plantes utiles, des sauvagines et de leur vie tumultueuse ; le plaisir communicatif avec lequel le jeune auteur exprime la jouissance de l’effort physique à fournir pour maîtriser cette nature si chère à son cœur.

Extrait de l'avant-propos: «La folie de ma vie jusqu'à la mort.» Henri Vincenot, L'Équipe, pages inédites; À dix-sept ans, Henri part à la chasse avec son grand-père Joseph, l'aïeul initiateur et inoubliable de La Billebaude. Distrait et musardant, le jeune garçon se perd bientôt dans bois et friches. Cherchant son chemin à l'aventure, il tombe en arrêt, ébloui, sur un hameau en ruine, au creux d'une petite combe bourguignonne. Se déclarant alors le prince charmant d'une Belle au bois dormant, il se prend de passion pour l'endroit et déclare au chien fidèle qui l'accompagne : «Tu vois, c'est ici que je passerai mes jours !» Qui n'a pas rêvé d'être Robinson Crusoé ? Alors, fantasme d'un adolescent original et rêveur ? Pas tant que cela. À partir du jour décisif de la «découverte», Henri ne cesse de rêver à la belle endormie, qu'il décide de sortir de sa léthargie à tout prix. Pendant les cours à Dijon, puis à HEC à Paris, il griffonne, au fond de l'amphithéâtre, des projets de campement, des calendriers de défrichage, des plans de reconstruction... mais aucune terre ne lui appartient encore. Pendant ses vacances, il part à bicyclette de village en village et enquête, de mairie en mairie, pour retrouver les propriétaires de minuscules parcelles abandonnées, enfants de paysans partis à la ville dénicher la poule aux oeufs d'or. Après le service militaire au Maroc, puis le mariage en 1936 avec Andrée, qui comme lui est tombée «en amour» pour ce hameau cistercien ruiné, le jeune couple décide d'acquérir, peau de chagrin après peau de chagrin, une surface suffisante pour installer le campement des défricheurs. À l'abri du vent du nord et à deux pas d'une source bien captée, fraîche et abondante. À la suite de quelques expériences professionnelles qui le «dégoûtent du monde», et invinciblement attiré par sa «princesse», Henri projette de tout abandonner du siècle et de ses leurres : Andrée, qui le suit toujours dans ses rêves fous, l'approuve avec enthousiasme et décide, elle aussi, de préparer l'équipée. Mais, en 1939, la guerre est déclarée. Les temps s'annoncent difficiles, la vie dangereuse. Henri et Andrée ont trois très jeunes enfants - Jean-Pierre, Marie-Claudine et François, qui naît en 1940. La famille s'installe dans une maison de location avec un grand jardin-verger, sur le rebord calcaire du plateau de Langres, dominant Dijon et la plaine de la Saône à l'est, avec une vue dégagée sur les monts de Bourgogne, où la Belle dort sous un édredon de ronces, à l'ouest. Au creux de la vallée, l'Ouche bouillonne entre les saules étêtés et les chignons de plantes aquatiques pour rejoindre la Saône. Cette maison porte le nom coquet de «Buissonnets», ce qui plaît aux jeunes parents... mais les fait sourire : ce qui les attend là-haut, à «la Peurrie», comme prononcent les vieux paysans du coin parlant encore patois, ce ne sont pas de charmants «buissonnets» mais la jungle, ses plaisirs et ses tourments ! Revue de presse C'est bien d'aventure qu'il s'agit : vivre sur la montagne, dans la forêt, en autarcie, avec sa femme et ses trois enfants. Il a 29 ans et, quoique diplômé de HEC, il ressent le besoin à la fois physique et moral de se soustraire à la ville et à la société. Il veut retrouver l'âme des "pionniers" : construire son domaine à la force du poignet... "Le grand luxe pour moi, c'est d'avoir peu de choses mais de les avoir toutes fabriquées moi-même." Quel soixante-huitard ne se reconnaîtrait-il pas dans cette profession de foi ? De jeunes écologistes ont-ils encore cette ambition pure et dure ?...

Henri Vincenot est sur les sentiers et avec les laies qui le mèneront plus tard sur le chemin royal de La Billebaude. Ce livre inachevé en est la philosophique et sensuelle préparation. (Bernard Pivot - Le Journal du Dimanche du 8 juillet 2012 )

Prix: 3 € Commande

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Frédéric VITOUX. Charles et Camille. Editions du seuil : 1992. Un volume à couverture cartonnée souple de couleur blanche à bords rouge, 382 pages, 14 x 22 cm. Prix: 3 €. Commande - Message [N21CG48] Bon état (8/10)

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Nicolas Virta. Solitude. Les éditeurs français réunis, collection "Le pays de Staline", Paris, 1950. Un volume à couverture cartonnée rigide 125 x 190 mm, 268 pages. Prix: 15 €. Commande - Message [L83] Bon état.

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Arnaud VIVIANT. La Vie critique. Domaine Français, BelFond : 2013 -  192 p.  Prix: 5 €. Commande - message [CG184] Bon état Le critique littéraire en héros de roman : victime, coupable, ou étrange figure sado-maso ? Un an de la vie d'un professionnel de la littérature, désespéré ou exalté, impitoyable ou passionné, chevalier blanc ou cruel assassin...  Il aurait voulu être rock star, il est devenu critique littéraire. Fidèle aux grands textes et aux rituels d'un métier en voie de disparition, curieux, amoureux, inconvenant, il défend les fous, les inventeurs et les modernes. Voie facile ? Non, vie critique, où l'on compose avec stocks et désirs, découverts et découvertes, obsessions sexuelles et professionnelles. Un texte intime et risqué, une mise à nu littéraire et politique, où tout conflue vers le désir d'être vivant. À l'ère de la littérature mondialisée et du journalisme prolétarisé, la situation est critique, mais pas désespérée.

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Henri VINCENOT. La billebaude. Pour mieux nous parler du pays qu'il aime et où il est né, Henri Vincenot se penche sur son enfance, quand il vivait chez ses grands-parents, dans un petit village de Bourgogne. Impossible d'échapper à la magie de ce conteur merveilleux, et nous le suivons allégrement dans ses fabuleuses parties de chasse, où il sait si bien recréer le climat de fête. Mais tout ici devient une fête, qu'il s'agisse de la visite d'une cousine extraordinaire, nourrice à Paris, ou de ces interminables repas de fin d'année, au cours desquels le petit garçon écoute, fasciné, les histoires savoureuses qui se racontent et qui lui serviront plus tard de tremplin pour ses récits.

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Henri VINCENOT. Les étoiles de Compostelle. Denoël : 1982. Un volume broché à couverture cartonnée souple, de couleur blanche, jaquette, illustrée, 316 pages, 15 x 23 cm. Prix: 3  €. Commande - message [CG161] Etat : Bon (8/10). XIIIe siècle. Les « essarteurs » vous prenaient une forêt chenue et, en vingt ans, vous en faisaient un versant fertile. Jehan le Tonnerre était de ceux-là, sauvages et farouches comme des chevreuils, tenus en lisière par les gens des villages, quand la curiosité et la fatalité l'ont mené jusqu'au chantier de -construction d'une abbaye cistercienne. Et le voilà bientôt enrôlé par les Compagnons constructeurs, ces « Enfants de Maître Jacques », mystérieux « Pédauques » dont il fera partie après une longue initiation. Vincenot se fait plus que le chroniqueur de cette singulière aventure, à la fois mystique et quotidienne, des bâtisseurs de cathédrales : « Ces gens, ces pays, ces édifices, je les ai vraiment vus. touchés, respirés avec les yeux, les mains, les poumons de Jehan le Tonnerre... J'ai pensé alors que j'étais le "retour" de Jehan le Tonnerre, à sept cents ans de dis tance, dans le cercle d'Abred... »

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Lydie VIOLET, Marie DESPLECHIN. La vie sauve. Editions du Seuil : 2005. Un volume broché à couverture cartonnée souple de couleur paille, contour brun, 130 pages, 14 x 21 cm. Prix: 3  €. Commande - message [N21CG77 x2] Etat neuf (10/10). La quarantaine active, la vie de Lydie Violet tourne autour de ses deux enfants, de son boulot dans une maison d'édition, de son mariage qui bat de l'aile. Mais après une violente crise d'épilepsie, on lui découvre une tumeur au cerveau. Avec l'aide de l'écrivain Marie Desplechin, elle évoque les souffrances et les doutes, les questions inéluctables sur la mort, mais aussi la vie qui continue, l'intensité que revêt désormais chaque instant, chaque victoire, chaque bonheur. Malgré la gravité du sujet, il y a de la fraîcheur dans ce témoignage débarrassé des politesses hypocrites, des oripeaux sociaux. Lydie Violet et Marie Desplechin ont choisi le parti de la franchise, et racontent les médecins déshumanisés, l'administration sans âme, les amis maladroits ou absents, les regards gênés, les encouragements vides de sens. Qu'importe quand on n'a plus le temps de ménager ceux qui ne le méritent pas, quand on n'a plus le temps des faux semblants. La plume bien vivante, les paragraphes courts et incisifs, l'humour et la dérision donnent une légèreté inattendue à cette très belle leçon de vie et d'espoir.

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Marcelle VIOUX. La charmeuse criminelle. Collection "Pour oublier la vie ...". SEP: 1941. Un volume broché à couverture cartonnée souple de couleur beige, 224 pages, 12 x 19 cm. Prix: 8 €. Commande - message [CG170] Etat: Bon (8/10).

Et aussi les ouvrages ...

 

Dernière Mise à jour : le samedi, 05. juin 2021.

 

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