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BOR
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BR
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1. |
Richard BOHRINGER.
C'est beau une ville la nuit. Paris; Denoël: 1988. Un volume broché 12 x 18 cm, à couverture cartonnée
souple de couleur beige, 152 pages, jolie jaquette illustrée.
Prix: 2 €.
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[L51] État bon
Ni autobiographie
d'acteur ni roman, C'est beau une ville la nuit est « une balade, l'œil et
l'esprit grands ouverts au vif de la ville et au droit à la vie, une route
de douleurs, de joies et finalement d'espérances ». Un blues en prose,
ponctué de chansons, écrit par l'homme Bohringer à ses amis vivants ou
morts, aux femmes qu'il a aimées, à la vie, à la page blanche. L'enfance
maudite, l'alcool, les coups de chagrin, l'héroïne, il aura tout connu, pour
s'octroyer quand même, au terme de son errance, le droit à l'amour, au
bonheur, à l'écriture. « Vie je te veux. Je t'ai toujours voulue. J'avais
pas le mode d'emploi. » |
2. |
Claire
BONNAFE. Le guetteur immobile. Balland : 1990. Un volume à couverture
cartonnée souple illustrée sur fond de couleur blanche, 390 pages 16 x 24 cm.
Prix: 3 €.
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[N21CG43] État : assez bon. |
3. |
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Robert BOBER. Quoi de neuf sur la guerre?
Paris; POL: 1993. Un volume broché 12 x
18 cm, à couverture cartonnée souple de couleur beige, 244 pages.
Prix: 4 €.
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[L52] État bon. Quoi de neuf sur la guerre ? En
principe rien, puisqu'elle est finie. Nous sommes en 1945-1946, dans un
atelier de confection pour dames de la rue de Turenne, à Paris. Il y a
là M. Albert, le patron, et sa femme, Léa. Leurs enfants, Raphaël et
Betty. Léon, le presseur. Les mécaniciens, Maurice, rescapé d'Auschwitz
et Charles dont la femme et les enfants ne sont pas revenus. Et les
finisseuses, Mme Paulette, Mme Andrée, Jacqueline. Il y a l'histoire de
leurs relations et de leur prétention au bonheur. Dans l'atelier de M.
Albert, on ne parle pas vraiment de la guerre. On tourne seulement
autour même si parfois, sans prévenir, elle fait irruption. Alors les
rires et les larmes se heurtent sans que l'on sache jamais qui
l'emporte. Alors, « ceux qui ont une idée juste de la vie » proposent
simplement un café ou un verre de thé avec, au fond, un peu de confiture
de fraises. 1981-1982. Trente-cinq ans après, quoi de neuf sur la guerre
? Rien de neuf sur la guerre. Parce que, comme le disait M. Albert en
1945 : « Les larmes c'est le seul stock qui ne s'épuise jamais. » |
4. |
Lucien
BODARD. Monsieur le Consul. Bernard Grasset, Paris : 1973. Un
volume broché à couverture cartonnée souple avec rabats couleur beige, 542
pages 13 x 20 cm.
Prix: 4 €.
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[N21CG29 N21CG102] Bon état. C'est une Chine hallucinante que
Lucien Bodard fait revivre dans ce roman. Une Chine de misère et de famine,
de fastes, de mendicité, qui sent le cadavre et l'excrément, la Chine des
mouches, des espions, des lépreux et des têtes coupées, un pays grouillant,
un chaos livré aux ambitions rivales des étrangers et dévasté par les
«Seigneurs de la guerre » qui pillent, qui brûlent, qui rançonnent. On se
croirait au fond des âges. Pourtant, c'est, dans cette Chine médiévale que
l'auteur est né il y a cinquante ans, et Albert Bonnard, consul de France à
Tcheng Tu, capitale du Sseu Tchouan, ressemble fort à son propre père. Seul
avec sa famille dans cette province du bout du monde où il règne sur une
armée de serviteurs inquiétants, « le consu1 » poursuit son grand dessein :
la construction d'une ligne de chemin de fer qui doit relier Tcheng Tu à
Hanoi. Mais il faut manœuvrer parmi des embûches innombrables et toujours
inattendues, ménager les potentats locaux qui exigent des armes et les
trafiquants qui recherchent le pavot, louvoyer entre les périls quotidiens
pour défendre les intérêts français contre l'âpreté britannique - sa bête
noire - et l'appétit vorace des requins venus de Shanghai. Cela ne va pas
sans découragements - que l'opium atténue de rêves délirants - tandis
qu'Anne Marie, sa femme, et Lulu, son fils, vivent à ses côtés une existence
parallèle où splendeurs et menaces se confondent dans les mirages coloniaux.
La peur et le luxe, les massacres, les banquets, les incendies, tout semble
démesuré dans cet univers à l'écart, et Lulu l'explore sans crainte avec la
cruauté candide d'un « petit Chinois blanc » que n'étonnent ni les supplices
ni les batailles ni les bordels, dans le prodigieux décor de crasse et de
merveilles millénaires qui s'offre à ses souvenirs. |
5. |
Lucien BODARD.
Le fils du consul. Bernard Grasset : 1975. Un
volume à couverture cartonnée souple de couleur blanche, avec rabats, jaquette
illustrée, 476 pages, 12 x 20 cm.
Prix: 4
€.
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[N21CG48]
Bon
état (8/10)
La Chine a
changé. Le fils du consul a grandi. Après quelques pages qui rappellent la
vieille cité de Tcheng Tu, magnifiée par la magie de l'enfance, d'un seul
regard, il s empare du haut plateau du Yunnan : . mon lac, mes temples, mes
remparts, mes montagnes, ma ville »; Tout le burlesque tragique de la Chine
d'antan, mais qui s'étend aussi à la Chine nouvelle, à la Chine de la
Révolution. Chine des années folles, où, pour la première fois, les Blancs ont
peur. Chine où les bombes de Sun Yat-sen à Canton, explosent sous les tables des
banquets officiels. Chine des barbouzes anglaises, des pasteurs américains, trop
naïfs, qui vont bouter le feu. Chine de Pékin où les ambassadeurs s'endorment
dignement à l'ombre des ruine de la Cité Interdite. Que ne trouve-t-on dans le
livre de Bodard ? Des agents du Komintern aux officiers immaculés des
canonnières françaises du haut Yang Tse Kiang qui aiment les eaux: tumultueuses
du fleuve en méprisant le reste du monde, en attendant de -devenir plus tard les
amiraux de Vichy l! Yunnan Fu, Albert Bodard a son chemin de fer, le vrai, bien
réel, pas celui de ses songes antérieurs. I l dispose du gouverneur général de
I’ Indochine, un vrai, pas celui de ses imaginations passées. Trois jours de
train suffisent pour descendre du Yunnan âpre chaotique jusqu'à Hanoï, la cité
de l'ordre colonial, de la bonne conscience blanche, que l'on découvre racontée
avec une jovialité qui n'épargne rien ni personne. Mais -sous la trame de ces
événements qui préludent aux grandes tempêtes qui vont déferler sur l'Asie, le
fils du consul assiste aussi à l'affrontement et su déchirement caché de
monsieur le consul et de madame la consulesse : le duel d'un couple
exceptionnel, duel d'autant plus implacable qu'El est plus dérisoire.
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6. |
Lucien BODARD.
Anne Marie. . Poids : 500 g.
L'enfant Lucien Bonnard,
le fils de « Monsieur le Consul », aban-donne la Chine pour découvrir la France.
Le roman débute le jour où Lucien, seul avec sa mère, Anne Marie, débarque sur
le sol de la métropole tant glorifiée par Monsieur le Consul, resté au loin.
Alors l'enfant. Lucien va vivre trois mois de folie, trois mois de passion,
trois mois de jalousie, trois mois de désespoir. Car il croit qu'il va avoir sa
mère pour lui tout seul. Et il va sentir qu'Anne Marie lui échappe, qu'elle
n'est pas là pour filer le par-fait amour avec son fils mais pour mener la vie
mondaine dont elle rêve. Elle n'a qu'un but : entrer dans l'intimité d'un couple
célèbre qui a fait la carrière de son mari, celui d'André et d'Edmée. Elle se
débarrasse d'un fils encombrant, en le faisant admettre dans la pension la plus
chic de France... Lulu Bonnard « le Chinois » atteint le fond de l'humiliation
et du désespoir... Anne Marie ne vient pas le voir une seule fois. Enfin
arrivent les vacances. Le fils retrouve sa mère, toujours semblable et pourtant
différente : elle est devenue parisienne, elle éblouit le monde de 1925, elle
fascine et bouleverse son fils. Lucien Bodard brosse un superbe portrait de
femme. Anne Marie... La mère, l'ambitieuse, la mondaine, Anne Marie
l'incertaine, l'angoissée. Et il a écrit le plus beau et le plus douloureux
roman d'amour, celui de l'amour filial. Anne Marie a obtenu le Prix: Goncourt
1981. |
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Bernard Grasset, Paris : 1981. Un
volume broché à couverture cartonne souple de couleur jaune, 418 pages, 14 x 22
cm.
Prix: 4
€.
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[N21CG74].
Etat
bon (7/10)
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7. |
Gaston BONHEUR.
La croix de ma mère. Julliard : 1976. Un volume
broché à couverture cartonnée souple de couleur rouge, avec rabats, 318 pages,
13 x 20 cm.
Prix: 2
€.
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[N21CG84]
Bon
état (8/10). Je crois que vous m'aimez bien, à cause
de l'école communale et de l'accent du midi, mais je suis sûr que vous
préférerez mon héros, Alban Hondedieu, ancien deuxième ligne international de
rugby. Il est de mon pays, il a mon âge, il voudrait être Don Quichotte. Le
voici dans les aventures, les dulcinées et les complots. On découvrira grâce à
lui que les terrifiants géants du monde moderne ne sont que des moulins à vent.
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8. |
Lucien BODARD.
Les dix mille marches. Grasset : 1991. Un volume
broché à couverture cartonnée souple de couleur jaune, jaquette illustrée, 392
pages, 14 x 23 cm.
Prix: 2
€.
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[N21CG97]
Bon
état (8/10). Ex Donno.
Le 9 septembre 1976, Mao
meurt sans avoir prononcé les quelques mots qui auraient fait de sa femme la
nouvelle impératrice rouge. Et Madame Mao, hâtivement, maladroitement, tente un
coup d'Etat. Un mois plus tard, elle est arrêtée. Ainsi s'achève une des plus
folles « carrières » du siècle. Ainsi commence le nouveau roman de Lucien Bodard,
dans l'ambition féroce et l'hystérie. C'est la plus extravagante des histoires,
l'ascension d'une fille de rien, née dans le ruisseau ou presque, qui devient
actrice dans Shanghai la Fabuleuse et qui force son chemin jusqu'au futur maître
de la Chine. Ses armes? La rage de survivre, quel que soit le Prix: à payer; une
exceptionnelle qualité de méchanceté, et puis un mépris des hommes qu'elle
utilise et qu'elle domine par le sexe. Elle n'en respecte qu'un, Kang Sheng qui
la protégea quand elle était enfant. Kang Sheng, le futur chef des services
secrets de la Chine rouge. Roman d'amour, roman d'aventures, ce livre est aussi
une fresque historique. Lucien Bodard montre une Chine convulsive, déchirée,
encore endormie dans le Moyen Âge, mais déjà folle de modernité sous la botte
des Blancs ivres de mercantilisme. Et surtout, il raconte à sa manière
fourmillante la saga du parti communiste chinois, les combats contre les
Nationalistes de Tchang Kaï-chek, la clandestinité, les complots, les trahisons,
la Longue Marche.. C'est la plus formidable épopée du XXe siècle.
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9. |
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Sylvie BONIN. Hibouk et compagnie. Nouvelles. Anne
Carrière : 2005. Un ouvrage broché à couverture cartonnée souple
illustrée sur fond blanc, 176 pages, 14 x 21 cm.
Prix: 2
€.
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[N21CG107]
Très Bon état (9/10).
ISBN 2843373190
Avez-vous déjà maudit votre ordinateur lorsqu'il vous lâchait au plus
mauvais moment? L'avez-vous détesté de ne pas vous obéir? remercié de
vous rendre un texte que vous croyiez perdu? applaudi de vous donner en
quelques secondes le résultat de savantes recherches? béni de vous
permettre de dialoguer en direct avec un ami au bout du monde? Vous
êtes-vous jamais demandé si un esprit malicieux se cachait derrière
l'écran? Hibouk, le héros de ces nouvelles, amène à se poser la
question. Petit ordinateur doué d'intelligence, de sensibilité,
d'humour, intervenant dans la vie de ses propriétaires selon son humeur,
il aide ceux qu'il aime, joue des tours pendables à ceux dont la
conduite lui déplaît. II se montre tour à tour ingénieux, farceur,
amoureux, redresseur de torts... Ordinateurs inanimés, auriez-vous donc
une âme? Après avoir lu ce livre, vous porterez un autre regard sur
votre ordinateur. |
10. |
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Jeanne BOISSARD. Boléro. Fayard: 1995. Un ouvrage broché à
couverture cartonnée souple illustrée sur fond blanc, 180 pages, 16 x 24
cm.
Prix:
6 €.
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[CG170]
Etat:
Bon (8/10).Heureuse
entre son mari, ses deux enfants et son métier de décoratrice, Adeline
ne pensait pas à la passion. Jusqu'au soir où elle rencontre chez des
amis Sergueï Levasseur, un célibataire de trente-huit ans... C'est dès
lors l'irrésistible montée du désir, lancinant et de plus en plus
impérieux comme le thème du célèbre Boléro de Ravel. Et le début d'un
combat qui verra Adeline lutter seule pour ne pas briser l'harmonie de
son couple et de son foyer... La romancière de L'Esprit de famille et de
Belle Grand-Mère évoque ici, avec une vérité parfois audacieuse, un
thème qui peut toucher chacun ou chacune d'entre nous. Car on n'est
jamais à l'abri d'une passion… |
11. |
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Richard BOHRINGER. Les nouveaux contes de la cité perdue. Flammarion:
2011. Un ouvrage broché à
couverture cartonnée souple blanche, jaquette illustrée couleur, 180 pages, 13 x 21
cm.
Prix:
6 €.
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[CG184]
Etat:
Très Bon (9/10).
Des personnages attachants et magnifiques se retrouvent
au comptoir d'Au bout du monde, le bar de la 300e Rue où se croisent
ceux qui voudraient que la vie les fasse encore rêver. Il y a là John,
marié deux fois et deux fois abandonné. Ce n'est pas son vrai prénom
mais certains soirs il préfère s'appeler John pour voir si ça fait
revenir l'amour. Il y rencontre Solange qui vit sans sexe et sans petit
ami. Sauf lorsqu'elle devient Betty, Betty qui aime l'amour et les
hommes. Avec Paulo, ils ont en commun un immense savoir de l'ivresse, un
dégoût du monde voué au culte de l'argent, bouffi d'orgueil et de
préjugés. Ensemble, ils vont prendre la route pour conquérir de nouveaux
territoires à l'abri des vanités et des malveillances de l'ancien monde.
Richard Bohringer nous livre peut-être son texte le plus intime et le
plus engagé. Il y parle des hommes tels qu'ils sont et tels qu'ils
voudraient être, il n'a jamais autant décrit le monde d'aujourd'hui ni
autant éclairé les pistes que nous donnent à voir les provocateurs et
leurs lumières. Richard Bohringer est comédien (césar du meilleur acteur
pour Le grand chemin de Jean-Loup Hubert en 1984, césar du second rôle
pour L'addition de Denis Amar en 1985, 7 d'or du public pour le téléfilm
Un homme en colère de Didier Albert en 1997). A ce jour il a joué dans
120 films et 50 téléfilms. C'est beau une ville la nuit le film réalisé,
produit, interprété et adapté de son livre par Richard Bohringer a reçu
Le Prix d'interprétation et du premier film au Festival «Lumières de
Safi» au Maroc. Également dramaturge, éditeur, scénariste, producteur,
musicien, chanteur. Écrivain, chez Denoël : auteur de C'est beau une
ville la nuit (1988), Le Bord Intime des Rivières (1994), chez
Flammarion : L'Ultime conviction du désir (2005), chez Arthaud : Carnets
du Sénégal (2007) et Bouts Lambeaux (2008). Sont également parus chez
Flammarion en 2009 Zorglub suivi de Les girafes et en 2010 Traîne pas
trop sous la pluie. |
12. |
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Janine BOISSARD. N'ayez pas peur, nous sommes là.
Flammarion: 2011. Un ouvrage broché à couverture cartonnée souple
illustrée couleur, 332 pages, 15 x 24
cm.
Prix:
5 €.
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[CG184]
Etat:
Très Bon (9/10).
Elle s’appelle Ninon Montoire, a trente ans, est
sapeur-pompier. Accidents de la route, bus scolaire en perdition,
secours d’urgence aux blessés, aide aux personnes esseulées, risques de
pollution, feux difficiles à maîtriser… dans son métier, tout peut
arriver. Jour et nuit, durant ses gardes à la caserne, elle se bat,
parfois au péril de sa vie, pour tous ceux que frappent le malheur, la
maladie, l’adversité, s’efforçant de maintenir la petite flamme de
l’espoir, quelle que soit la gravité de la situation… À la maison, les
jours de repos, elle trouve avec Sophie, cinq ans, sa petite fille,
gaieté et tendresse. Et avec Agnès, sa mère, douceur et compréhension.
L’amour ? Ninon a décidé de ne plus y croire. Mais le « soldat du feu »
ne se doute pas que, bientôt, il l’embrasera à nouveau. Cet incendie-là
sera-t-il le plus dur à maîtriser ? |
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Dernière Mise à jour : le
samedi, 05. juin 2021.
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